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Bafouée, piétinée , martyrisée...
.... Je survis au cœur des humains en dépit de tout.
Ami, si chaque jour tu as une pensée pour ceux qui me cherchent,qui se battent ou qui meurent pour moi...
JE VIVRAI... plus forte que jamais.
Ami, je suis aussi TA Liberté !
Malgré les difficultés et les injustices de ta vie quotidienne,l'âge, la pauvreté, la maladie, la solitude :
TU ES LIBRE d'accueillir chaque jour comme l'une des merveilles de l'Univers...et de le trouver beau.
TU ES LIBRE de trouver en chaque être et en chaque chose la petite parcelle de beauou de bien qui y est forcément
(Il y en a bien une en toi, pourquoi pas dans les autres?)
TU ES LIBRE de te respecter toi-même, dans ton corps, dans ton cœur, dans ta tête,de faire la paix avec toi-même comme avec les autres...
plutôt que de t'épuiser en batailles stériles.
TU ES LIBRE de rechercher, de revivre et de ne garder que les souvenirs heureuxde ta vie... plutôt que les autres,
(ça ne renie rien du passé... et ça allège considérablement le présent !)
TU ES LIBRE, si tu as fait du tort, de t'excuser et de réparer :il n'est JAMAIS trop tard...
et après, on se sent mieux !
TU ES LIBRE de sourire !
TU ES LIBRE d'aimer !
TU ES LIBRE de VIVRE !L I B R E !
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Si un enfant
Si un enfant vit dans la critique,
Il apprend à condamner.
Si un enfant vit dans l’hostilité,
Il apprend à se battre.
Si un enfant vit dans le ridicule,
Il apprend à être gêné.
Si un enfant vit dans la honte,
Il apprend à se sentir coupable.
Si un enfant vit dans la tolérance,
Il apprend à être patient.
Si un enfant vit dans l’encouragement,
Il apprend à être confiant.
Si un enfant vit dans la motivation,
Il apprend à se faire valoir.
Si un enfant vit dans la loyauté,
Il apprend la justice.
Si un enfant vit dans la sécurité,
Il apprend la foi.
Si un enfant vit dans l’approbation,
Il apprend à s’aimer.
Si un enfant vit dans l’acceptation et l’amitié,
Il apprend à trouver l’amour dans le monde.
Dorothy Law Nolte.
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La betterave rouge : un super aliment qui ressort de terre
Après une longue traversée du désert, la betterave rouge ressort de terre.
Ses qualités nutritionnelles ont fait parler d’elle, et certains la voient aujourd’hui
comme un super aliment avec le vent en poupe.
Il est vrai qu’elle a des prétentions, la belle rouge !
Études scientifiques à l’appui, qui plus est.
Si vous l’aviez un peu enterrée, il serait peut-être temps de redécouvrir les avantages
de la betterave rouge, et les meilleures façons d’en profiter.
La betterave rouge est un légume-racine, au même titre que la carotte ou le céleri.
Cultivée et consommée depuis des siècles "de l’Atlantique à l’Oural" et au-delà,
elle figurait en bonne place dans tout potager qui se respecte jusque dans
les années soixante-dix.
Quelque peu éclipsée par le boom de l’agro-industrie, elle revient sous les feux desprojecteurs grâce à des qualités nutritionnelles qui collent aujourd’hui au plus près des
préoccupations à la mode en matière d’alimentation et de santé :
faire le plein de nutriments protecteurs et d’antioxydants.
La betterave potagère, un véritable alicament
Les Grecs et les Assyriens voyaient déjà dans la betterave potagère un véritable alicament.
Mais à notre époque, c’est son rôle majeur dans la fameuse cure anti-cancer Breuss
qui lui a donné ses lettres de noblesse en tant que légume-santé.
Depuis quelques années, études et recherches "officielles" se sont attachées à démontrer
les nombreuses vertus de la betterave rouge, qu’elle soit consommée crue, cuite ou en jus.
La betterave constitue d’abord un excellent apport de fibres solubles et insolubles,
qui contribuent à entretenir la flore intestinale ou restaurer la bonne santé du tube digestif.
Puis il y a toute une cohorte de vitamines : A, C, bêta-carotène, B5, B6, B9 (l’acide folique),
B1 (la thiamine), B2 (la riboflavine) et la choline, pour ne citer que les principales.
Viennent ensuite des composés comme la lutéine, la zéaxanthine, la glycine et la bétaïne.
Les minéraux ne sont pas en reste, avec du calcium, du magnésium, du potassium, du phosphore,
du fer, du manganèse, du zinc, du sélénium, du cuivre…
Des nitrates, mais des bons
Les nitrates ont beaucoup fait parler d’eux il y a quelques années quand on s’est rendu compte
que les rivières et les nappes phréatiques subissaient de plein fouet la pollution due aux
amendements azotés agricoles et engrais issus de la pétrochimie.
Dans toutes les régions où l’agriculture et l’élevage intensifs prédominaient,
les teneurs en nitrates avaient dangereusement augmenté.
Il est avéré qu’une ingestion élevée et prolongée de ces nitrates présente un
risque pour la santé, tout particulièrement celle des nourrissons.
Le principal symptôme est la fatigue, causée par une sous-oxygénation cellulaire qui peut,
dans les cas extrêmes, provoquer l’asphyxie.
Pas grand-chose à voir, heureusement, avec les nitrates d’origine végétale qu’on trouve
dans la quasi-totalité de nos légumes (céleri, laitue, épinards, radis…),
la betterave en particulier, et qui ont un rôle bénéfique. Notamment celui de
réduire l’hypertension artérielle.
En effet, notre organisme convertit une partie des nitrates des végétaux en nitrite,
puis en oxyde nitrique dans le sang. Ce dernier est un gaz capable de dilater les vaisseaux
et d’améliorer la circulation sanguine et l’oxygénation des tissus.
Si bien que de nombreux sportifs ont adopté la betterave dans l’espoir d’augmenter
leurs performances et leur endurance.
La bétaïne pour retrouver du jus
Des recherches sur la physiologie d’enfants autistes ont montré que la bétaïne,
un acide aminé dont regorge la betterave rouge, pouvait faire office d’antidépresseur
naturel de premier ordre. Le cheminement est le suivant : la bétaïne est un précurseur de
S-Adénosylméthionine (couramment dénommé SAMe), elle-même indispensable à la synthèse
de certaines hormones dont le binôme noradrénaline-dopamine et la sérotonine,
maintenant bien connue pour son action équilibrante sur l’humeur ‒
d’où son surnom d’hormone du bonheur.
La bétaïne de la betterave a d’autres avantages : elle relance également
la production de glutathion reconnu depuis peu pour être peut-être le plus puissant
antioxydant que l’organisme synthétise.
Il joue notamment un rôle central dans la protection et la détoxification du foie,
plus que jamais en danger de nos jours devant les innombrables molécules synthétiques
auxquelles il est confronté via notre alimentation ou notre médication.
Autre bénéfice important de la bétaïne : elle agit sur les maladies cardiovasculaires
athérosclérotiques. Celles-ci sont très souvent liées à un taux sanguin d’homocystéine
anormalement élevé, qui engendre l’encombrement des artères du cœur,
mais aussi du cerveau et des membres inférieurs, avec thrombose veineuse.
Un apport régulier de bétaïne fait chuter ce taux d’homocystéine et minore
considérablement les désagréments qu’elle engendre.
La betterave en première ligne contre le cancer : la cure Breuss
Si vous connaissez la cure Breuss, vous savez que l‘ingrédient principal des jus de légumes
qui en sont le pilier est… la betterave rouge.
Rien d’étonnant donc à ce que notre légume du jour, sous forme d’extrait, se soit
révélé un excellent cytotoxique dans plusieurs études officielles devant des cellules
humaines de cancers dits hormonodépendants.
Le jus de betterave, comparativement à d’autres légumes, est aussi celui qui prévient
le mieux les mutations susceptibles de dégénérer en cancer.
Car le cancer est également ‒ ou avant tout selon certains ‒ une maladie du terrain,
et là aussi, la betterave excelle. Sa richesse en minéraux la rend idéale
pour contrebalancer un terrain acide, dénutri et sous-oxygéné,
souvent (pour ne pas dire toujours) un corollaire des terrains cancéreux.
Les personnes sous anticoagulants devront juste prendre garde à leur consommation de fanes
de betterave, riches en vitamine K, un agent de coagulation du sang.
Une liste de vertus à retenir
La betterave a indéniablement de nombreuses vertus, éprouvées par des millions de
consommateurs et toutes plus importantes les unes que les autres.
Pour en profiter au maximum, la solution idéale est évidemment de la manger crue
et fraîche, sous forme de salade ou de jus, obtenu grâce à un extracteur à faible vitesse
de rotation.
Vous pourrez ainsi :
Améliorer votre transit intestinal.
Vous protéger de la déprime et de la dégénérescence cognitive.
Augmenter vos performances physiques et cérébrales.
Détoxifier et protéger votre foie.
Contribuer à faire barrage au cancer.
Lutter contre l’hypertension.
Vous mettre à l’abri des problèmes circulatoires et des cardiopathies,
ou les amoindrir.
Booster votre système immunitaire et votre moral.
Nous reviendrons prochainement sur ces jus de légumes et autres jus verts
qui font de nombreux nouveaux adeptes ces dernières années.
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Est-ce que la vitesse à laquelle nous vivons nous fait passer à
côté de grandes choses ?
Par un froid matin de janvier, un homme assis à une station de métro de
Washington DC a commencé à jouer du violon.
Il a joué six morceaux de Bach pendant environ 45 minutes.
Pendant ce temps, comme c’était l’heure de pointe, il a été calculé que des milliers
de personnes sont passées par la gare, la plupart d’entre elles en route vers leur travail.
Trois minutes se sont écoulées et un homme d’âge moyen a remarqué qu’un musicien jouait.Il a ralenti son rythme, s’est arrêté pendant quelques secondes,
puis se précipita pour respecter son horaire.
Une minute plus tard, le violoniste a reçu son premier dollar :une femme jeta de l’argent dans l’étui de son violon et, sans s’arrêter,
a continué son chemin.
Quelques minutes plus tard, quelqu’un s’adossa au mur pour l’écouter,mais l’homme a regardé sa montre et a repris sa marche.
Il est clair qu’il était en retard au travail.
Celui qui a apporté le plus d’attention à la prestation musicale fut un petit garçon de 3 ans.
Sa mère l’a tiré vers elle, mais le garçon s’est arrêté pour regarder le violoniste.
Enfin, la mère a tiré plus fort et l’enfant a continué à marcher en tournant la tête
tout le temps. Cette action a été répétée par plusieurs autres enfants.
Tous les parents, sans exception, les forcèrent à aller de l’avant.
Durant les 45 minutes que le musicien a jouées, seulement 6 personnes se sont arrêtéeset sont restées à l’écouter pendant un certain temps.
Environ 20 lui ont donné l’argent, mais ont continué à marcher à leur rythme.
Il a recueilli 32 $.
Quand il finit de jouer et que le silence se fit, personne ne le remarqua.
Personne n’applaudit, ni n’exprima quelque reconnaissance que ce soit.
Personne ne savait cela, mais le violoniste était Joshua Bell, l’un des meilleursmusiciens au monde. Il a joué l’un des morceaux les plus difficiles jamais écrits,
avec un violon une valeur de 3,5 millions de dollars.
Deux jours avant sa prestation dans le métro, Joshua Bell joua à guichets fermés
dans un théâtre de Boston où un siège coûtait en moyenne 100 $.
C’est une histoire vraie. Joshua Bell joua effectivement incognito dans la station de métro.
Cet événement a été organisé par le Washington Post dans le cadre d’une expériencesur la perception, les goûts et les priorités des gens.
L’énoncé était : dans un environnement commun à une heure inappropriée sommes-nous
en mesure de percevoir la beauté ?
Nous arrêtons-nous pour l’apprécier ?
Savons-nous reconnaître le talent dans un contexte inattendu ?
L’une des conclusions possibles de cette expérience pourrait être :
si nous n’avons pas un moment pour nous arrêter et écouter un des meilleurs musiciens
au monde jouant la meilleure musique jamais écrite, combien d’autres choses manquons-nous ?
(Traduction de l’article de Gene Weingarten du Washington Post Staff Writer 8 Avril 2007)
Désolant, non ?
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