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    Le docteur Louis Fouché, vient d’écrire ce texte au nom des 60.000 personnes

    de son association réinfoCovid.

     

    UN TEXTE DU Dr LOUIS FOUCHE POUR LES MEMBRES DE RE INFO COVID

     

    (Du Dr Louis Fouché - Médecin anesthésiste - réanimateur)

     

    « Tout d’abord chapeau bas à tous ceux qui ont réussi à transformer le Coronavirus en

    "crise sanitaire mondiale", en "pandémie globale".

     

    Merci aux médias alarmistes, merci aux politiques dictatoriaux, merci aux scientifiques

    corrompus ou dogmatiques.

     

    Nous tenons par cet article à leur exprimer toute notre gratitude.

     

    Gratitude qui vient du mot "grâce". Oui nous avons été touchés par la grâce, grâce à vous.

     

    Cette crise est une révélation, un dévoilement, une apocalypse.

     

    Et après l’apocalypse vient un autre monde.

    Nous ne reviendrons jamais au monde d’avant, n’en déplaise à ceux qui s’y accrochent encore.

     

    Depuis plusieurs années, nous sentions bien que plusieurs choses "clochaient" dans ce monde.

     

    Pris par la vie de tous les jours avec ce sentiment confus d’un "quelque chose" qui n’allait pas,

    nous errions sans vraiment comprendre, nous raccrochant à ce monde vicié pour éviter

    la douleur de s’en détacher.

     

    Heureusement, le virus et son narratif burlesque envahissant la surface du globe est arrivé,

    nous arrachant nos œillères, nous laissant contempler le désastre.

     

    D’abord, nous avons essayé de comprendre.

     

    Je peux vous le dire, nous n’avons jamais autant travaillé.

    Et je vais vous faire mal : nous sommes tous bénévoles !

    Nous avons épluché tous les articles de sciences, toutes les informations,

    lois, décrets, ordonnances.

     

    Nous avons lu toutes les informations, celles des médias mainstream

    comme celles des "complotistes".

     

    Nous avons appris à maîtriser internet, les réseaux sociaux, la communication,

    le graphisme, la communication non violente...

     

    Nous avons écrit, filmé, publié, coordonné, dessiné, chanté, dansé créé des œuvres d’art.

    Nous nous levons aux aurores et nous couchons lorsque nos yeux se ferment.

     

    Vous vouliez nous appauvrir, vous nous avez tant enrichis : nos connaissances sont plus grandes,

    nous nous sommes découverts de nouveaux talents.

     

    Nous avons repoussé nos limites : plus que jamais nous sommes emplis d’espoir,

    de courage et d’allégresse.

     

    Vous vouliez notre mort mais nous nous sentons plus vivants et rayonnants que jamais.

     

    Vous vouliez nous désespérer, nous n’avons plus besoin d’espoir pour entreprendre.

     

    Grâce à vous, nous avons pu cerner ce que nous ne voulions pas.

     

    Nous ne voulons pas vivre masqués.

     

    Nous ne voulons pas vivre en nous méfiant les uns des autres.

     

    Nous ne voulons pas vivre dans la culpabilité hypothétique de « donner la mort »

    à nos proches en transmettant un virus.

     

    Nous ne voulons pas vivre vaccinés de force tous les mois pour tous les virus qui

    sont ou viendront.

     

    Nous ne voulons pas de passeport sanitaire, de reconnaissance faciale,

    nous ne voulons pas vivre fichés.

     

    Nous ne voulons pas être incarcérés dans nos domiciles.

     

    Vous vouliez nous séparer. « Attention, distanciation sociale : 1m, puis 1m50, puis 2m

    avec les nouveaux variants ».

     

    Vous nous avez rassemblés.

     

    Vous vouliez nous faire peur, nous sommes sortis de la caverne.

    Jouez tous seuls avec vos ombres.

     

    Vous vouliez nous abrutir devant la télévision, nous l’avons éteinte et demain nous

    jetterons devant nos seuils tous vos biens de consommation à

    l’obsolescence programmée.

     

    Vous vouliez nous imposer le passeport sanitaire, nous surveiller, nous reconnaître

    facialement, nous pucer peut-être ?

    Nous avons faim de liberté.

     

    Vous vouliez nous vendre des médicaments couteux à l’efficacité et à la

    sécurité douteuse ?

    Nous arpentons d’autres chemins de santé.

     

    Vous vouliez nous imposer votre vision du monde, marchande et basée sur la dette

    éternelle, la dépossession intégrale, jusqu’à celle de nos propres vies ?

     

    Nous posons les premières pierres d’un autre monde enthousiasmant basé sur la gratitude,

    la joie et la présence à l’autre.

     

    Alors un immense merci à vous pour tous ces bienfaits. »

     

     

     

     

     

     

     

     

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    EXTRAIT DU LIVRE : "l’Avenir de la vie", 1981, de Michel Salomon

     

     

    C’est un livre qui regroupe les entretiens de Michel Salomon avec une vingtaine de

    personnalités de l’époque sur l’avenir de l’humanité...

     

     

    Voici un florilège de la réponse de Jacques Attali, l’homme qui murmure à l’oreille

    des présidents, dont Sarkozy, qui dans son discours d’ouverture à l’université d’été du MEDEF

    en 2019 a parlé du CHOC DÉMOGRAPHIQUE

     

    (INFORMATION VÉRIFIÉE ET VÉRIFIABLE PAR TOUS SUR INTERNET !)

     

     Pour info et en réponse à ceux qui s'interrogent, il y a eu une seconde édition du livre de Michel Salomon,

    expurgée des éléments les plus dérangeants. Les propos cités dans ce post et attribués au bienfaiteur de

    l'humanité Attali, ne figurent plus dans la nouvelle édition du livre, devenu d'ailleurs bizarrement "introuvable".

     

     

    "À l'avenir il s'agira de trouver un moyen de réduire la population.

     

     

    Nous commencerons par les vieux, car dès qu'il dépasse 60-65 ans l'homme vit plus longtemps

    qu'il ne produit et il coûte cher à la société.

     

     

    Ensuite les faibles puis les inutiles qui n'apportent rien à la société car il y en aura de plus

    en plus, et surtout enfin les plus stupides.

     

     

    Une euthanasie ciblant ces groupes ; l'euthanasie devra être un instrument essentiel

    de nos sociétés futures, dans tous les cas de figure.

     

     

    On ne pourra bien sûr par exécuter les gens ou faire des camps. Nous nous en

    débarrasserons en leur faisant croire que c'est pour leur bien.

     

     

    La population trop nombreuse, et pour la plupart inutile, c'est quelque chose

    d'économiquement trop coûteux.

     

     

    Sociétalement, il est également bien préférable que la machine humaine s'arrête

    brutalement, plutôt qu'elle ne se détériore progressivement.

     

     

    On ne pourra pas non plus faire passer des tests d'intelligence à des millions et

    des millions de gens, vous pensez bien !

     

     

    Nous trouverons quelque chose ou le provoquerons, une pandémie qui cible certaines personnes,

    une crise économique réelle ou pas, un virus qui touchera les vieux ou les gros, peu importe,

    les faibles y succomberont, les peureux et les stupides y croiront et demanderont à être traités.

     

     

    Nous aurons pris soin d'avoir prévu le traitement, un traitement qui sera la solution.

     

     

    La sélection des idiots se fera ainsi toute seule : ils iront d'eux-mêmes à l'abattoir."

     

     

     

    [ L'avenir de la vie - Jacques Attali, 1981 ]

     

    Entretiens avec Michel Salomon, collection Les Visages de l'avenir, éditions Seghers.

     

     

     

    L'AVENIR DE LA VIE

     

     

     

     

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    LE TEMPS

     

     

     

    Le temps s’est écoulé comme une rivière, je ne l’ai pas vu passer !

     

    J’ai compté mes années et j’ai découvert que j’ai moins de temps à vivre

    ici que je n’en ai déjà vécu.

     

    Je n’ai désormais pas le temps pour des réunions interminables, où on discute de

    statuts, de règles, de procédures et de règles internes,

    sachant qu’il ne se combinera rien…

     

    Je n’ai pas le temps de supporter des gens absurdes qui, en dépit de leur âge,

    n’ont pas grandi.

     

    Je n’ai pas le temps de négocier avec la médiocrité.

     

    Je ne veux pas être dans des réunions où les gens et leur ego défilent.

     

    Les gens ne discutent pas du contenu, à peine des titres.

     

    Mon temps est trop faible pour discuter de titres.

     

    Je veux vivre à côté de gens humains, très humains.

     

    Qui savent sourire de leurs erreurs.

     

    Qui ne se glorifient pas de victoires.

     

    Qui défendent la dignité humaine et qui ne souhaitent qu’être du côté

    de la vérité et de l’honnêteté.

     

    L’essentiel est ce qui fait que la vie vaut la peine d’être vécue.

     

    Je veux m’entourer de gens qui savent arriver au cœur des gens.

     

    Les gens à qui les coups durs de la vie ont appris à grandir avec des

    caresses minces dans l’âme.

     

    Oui… J’ai hâte…

    de vivre avec intensité, que seule la maturité peut me donner.

     

    J’exige de ne pas gaspiller un bonbon de ce qu’il me reste…

     

    Je suis sûr qu’ils seront plus délicieux que ceux que j’ai mangés jusqu’à présent

    - personne n’y échappe, riche, pauvre, intelligent, démuni … ”

     

    (André GIDE)

     

     

     

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