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Par Danishacreations le 13 Avril 2014 à 16:16
Avouons-le : on ment sans arrêt...
Plus grave, on se ment surtout à nous-mêmes.
Pour avancer, ne vaudrait-il pas mieux nous regarder en face ?
Des exemples ? OK !!!
"JE ME MOQUE DE CE QUE LES AUTRES PEUVENT BIEN PENSER DE MOI !"
Oh, le joli bobard ! Car on se heurte ici à une représentation fantasmée de nous-mêmes :
Celle de la personne forte, indépendante, sûre d’elle-même, qui fait ce qui lui chante sans se soucier du regard d’autrui.
Mais en réalité, ce qu’on a en tête à ce moment-là, c’est exactement l’inverse : on est trop attaché(e) à ce que les
autres pensent de nous, et on a peur d’en souffrir.
Du coup, on se met sur la défensive : la colère et le refus de montrer ses fragilités, par peur que
les autres en profitent, nous amène à nous présenter différemment de ce que nous sommes vraiment.
Souvent, ce pieux mensonge intervient après que l’on a commis une bourde.
On a flanché et on redoute alors le jugement qui va suivre.
Ne serait-il pas plus simple d’accepter d’avoir eu tort… et s’excuser ?
"JE NE SAIS PAS DIRE NON !"
Bien sûr que si, on sait !
Mais ce qui nous fait dire « oui » alors que l’on pense « non » très fort, ce n’est pas tant l’envie
de faire plaisir que la peur de décevoir, de ne plus être aimé(e) ou de provoquer un conflit.
A l’affrontement, on préfère la paix.
Dire non c’est accepter de devoir ensuite s’expliquer et négocier avec l’autre.
C’est aussi s’exposer à des critiques, à des rancœurs ou passer pour une sans-cœur !
Pourtant le refus est indispensable si l’on veut affirmer sa personnalité. Alors comment faire ???
Dites : « j’ai besoin d’un temps de réflexion », « je suis sincèrement désolé(e),
mais ma réponse est non », « je regrette vraiment, mais je n’ai pas le temps, pas les moyens, pas envie, » etc.
"J’AIMERAIS BIEN ME METTRE A L’ANGLAIS, A LA GYM etc…
MAIS JE N’AI PAS LE TEMPS !"
En voilà une belle excuse pour…
1- Prouver qu’on a une vie trépidante
2- Éviter une éventuelle déconvenue
3- Ne pas assumer les conséquences de son choix
Pourtant, tout est question de priorité : « Est-ce qu’on n’a pas le temps ou est-ce que l’on ne veut pas
revoir certaines de nos priorités ???
Certes, une heure d’anglais ou de sport, c’est une heure de moins consacrée aux enfants
(complexe du « bon parent »)
Alors, soit on s’y met et on réaménage notre temps autrement
(les enfants seront fiers d’avoir un parent qui parle anglais, ou se trouve en forme après le sport…)…
Soit on se dit clairement qu’on préfère, pour le moment, se consacrer à nos chérubins,
à notre boulot ou à notre chéri(e).
Mais on ne se raconte pas d’histoires !
"S’IL NE ME RAPPELLE PAS, C’EST QU’IL A PERDU MON NUMÉRO…"
Impossible ! Un homme séduit ne perd jamais un sésame.
« Il rappelle ! Ceux qui ne le font pas se fichent éperdument de nous »
Et c’est bien là que le bât blesse : notre orgueil a tant de mal à admettre que notre charme n’a pas porté
ses fruits qu’il est prêt à nous faire avaler n’importe quoi.
Et si l’élu de notre cœur était séquestré par les extraterrestres ?
STOP ! Pansons nos blessures narcissiques sans lui, en maudissant son manque de goût et…
son absence de tact !
"IL M’AIME MAIS IL (ELLE) A PEUR DE S’ENGAGER…"
Variantes : son ex l’a traumatisé(e), ses parents ont divorcé, il n’est pas prêt à assumer une vie de couple...
Dur de se l’avouer, mais notre prétendant souffre d’une phobie de l’engagement.
Et toute notre bonne volonté à l’en excuser ne le changera pas pour autant.
En clair, on risque de souffrir pour rien.
« Ce type de crainte engendre des comportements passifs-agressifs, et est donc source de conflits
intolérables pour le ou la partenaire. »
Comprenez que la personne à ce point réticente va développer toutes sortes de stratégies pour vous faire
« porter le chapeau et vous blesser en passant »
Le remède ? Privilégier notre petite personne (oui, oui) !
Et arrêter de pardonner des comportements que l’on sait destructeurs et contraires à nos désirs et valeurs !
"J’ARRÊTE QUAND JE VEUX…"
Illusion ! On dit ça pour se rassurer.
Pour tenter de croire que nous maîtrisons nos comportements compulsifs.
Et ce, alors même que nos actes nous prouvent le contraire.
Les symptômes généraux de la dépendance (tabac, drogue, alcool, shopping, internet etc.), se caractérisent comme suit :
-Impossibilité de résister au besoin
-Accroissement d’une tension interne
-Soulagement ressenti lors de la satisfaction du besoin.
Vous ne vous sentez toujours pas concerné(e) ?
Mais au fait, si on peut vraiment arrêter demain, on peut arrêter dès aujourd’hui non ?
Non ? Alors c’est que l’on a un vrai problème et l’admettre serait déjà un pas
vers une façon de se prendre en charge !
"JE VAIS VRAIMENT Y ARRIVER TOUT SEUL…"
Nier que l’on a besoin d’aide –affective, familiale ou professionnelle- peut apparaître comme une preuve
d’indépendance ou de courtoisie.
Mais c’est souvent se protéger soi-même, ne pas paraître vulnérable ou incapable aux yeux des autres.
« Donner, recevoir et rendre, constituent la base des liens qui s’établissent entre les individus.»
Mais la société semble avoir oublié cette loi.
Ne dépendre de personne, ne rien devoir à personne, ne jamais se contraindre,
constitueraient les bases de la liberté, du véritable épanouissement.
Leurre, quand tu nous tiens !
Car c’est en acceptant de se montrer vulnérable, en demandant le soutien de ses amis,
qu’on renforce les liens qui nous unissent à eux.
Alors, n’ayons plus peur de déranger !
Ainsi, nous ouvrons la voie à des rapports plus intimes avec les autres,
plus sains avec soi-même.
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Par Danishacreations le 11 Avril 2014 à 14:02
Pour être honnête je ne suis pas pour les régimes, tous plus aberrants les uns que les autres, qui fleurissent
partout : livres, sites web, magazines féminins ou de santé, surtout à cette époque de l'année où
nous désirons toutes être belles et minces pour l'été (comme si nous ne pouvions être belles QUE minces !!!)
Mais l'idée d'alléger certains plats lourds, autant pour la digestion que pour les calories,
me plait bien... Voici donc deux basiques de la cuisine française, bien fournies en "gras"
Il s'agit de la béchamel et de la mayonnaise
BÉCHAMEL ALLÉGÉE
Quantité : 4 personnes
Préparation . 2 minutes
Cuisson : 5 minutes
Ingrédients
50 cl de lait écrémé
40 grammes de Maïzena
1 pincée de noix muscade
Sel et poivre
Préparation
-A l'aide d'un fouet, délayez petit à petit dans une casserole, la maïzena dans le lait froid
(opération à réaliser hors du feu)
-Placez la casserole sur feu doux et faites épaissir le tout en mélangeant régulièrement
-Une fois la béchamel épaissie, ajoutez la noix de muscade, le sel et le poivre
MAYONNAISE DIÉTÉTIQUE
Ingrédients
- 150 gr de fromage blanc frais
- 1 jaune d’œuf
- 1 c à café de moutarde forte
- 1 c à café de vinaigre de vin ou de jus de citron
- Sel et poivre
Préparation
-Dans une terrine ou un saladier, mélangez 150 g de fromage blanc frais
-Ajoutez le jaune d'œuf. Mélangez avec la moutarde forte et le vinaigre de vin ou de jus de citron
-Amalgamez le tout au fouet pour obtenir une préparation homogène.
-Salez et poivrez
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Par Danishacreations le 2 Avril 2014 à 19:08
Avez-vous bien commencé et évolué dans la pratique de la respiration abdominale ?
Si oui, on continue !
La respiration thoracique :
Avec la respiration abdominale, vous avez respiré uniquement avec la partie basse de vos poumons
La respiration thoracique va vous permettre d'augmenter votre réserve d'air en utilisant,
maintenant, la partie médiane des poumons
Toujours allongé sur le dos, placez maintenant vos mains, paumes sur les côtes flottantes
Effectuez une respiration abdominale comme expliqué précédemment,
puis continuez à remplir vos poumons
en gonflant la partie thoracique basse ainsi que la partie arrière du thorax,
sans que l'air accumulé dans l'abdomen ne remonte vers le haut thorax.
La partie avant basse du thorax et arrière du thorax doivent s'ouvrir
Attention, les épaules ne doivent toujours pas monter !
Sous vos paumes de mains, vous sentez vos côtes flottantes s'ouvrir à l'inspiration et se fermer à l'expiration
La respiration thoracique vous demandera un peu plus de temps d'adaptation,
le temps de redonner la mobilité nécessaire à vos côtes.
Travaillez-la régulièrement jusqu'à la maîtriser totalementLa respiration claviculaire
Toujours allongé sur le dos, placez maintenant vos mains, paumes sous claviculaire
La respiration claviculaire -ou haute- va vous procurer un supplément de volume d'air
Elle ne s'emploie qu'en complément des respirations abdominale et thoracique
Elle consiste à remplir la partie haute des poumons, sous claviculaire
Les clavicules se soulèvent légèrement
Les épaules, elles, ne doivent toujours pas monter
Sous vos paumes de mains, vous sentez la partie sous claviculaire du thorax se soulever à
l'inspiration et s'abaisser à l'expiration
ATTENTION !
Tout travail de respiration dois se faire sans violence. Il faut juste accompagner sa respiration
tant qu'elle se fait aisément
Évitez absolument de retenir votre souffle (poumons vides ou poumons pleins) si vous souffrez
d'hypertension artérielle ou d'épilepsie
Si vous êtes très stressé, ne retenez pas votre souffle ce qui ne ferait qu'amplifier les tensions
Conseils pour la pratique
Avant de commencer la pratique, vider votre vessie et vos
intestins
Pratiquez avant le repas ou 2 heures après avoir mangé
Si la température de la pièce est inférieur à 22°, couvrez-vous
Pendant la pratique restez les yeux fermés
Après la pratique, restez assis au moins 2 minutes en respirant
normalement
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