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    Et si, à l'aide de ce blog, pour améliorer l'atmosphère de "crise" qui règne en ce

    début d' année 2014,  nous partagions nos "trucs et astuces" pour aller mieux,

    pour allez bien, pour nous rendre la vie plus belle ?

     

    Si cela vous dit.... C'est parti !

     

    AVERTISSEMENT : Ce blog est dédié aux personnes ne présentant pas

    de troubles graves de la santé, mais qui désirent améliorer leur vécu, 

    du point de vue santé globale :  physique et psychique.

    Il est évident que certains troubles, s'ils perdurent, doivent amener

    à se questionner et à voir un professionnel de la santé.

    En ce qui concerne les habitudes de vie : sommeil, petit déjeuner, sport, etc,

    chacun doit écouter son corps et faire au mieux par rapport également

    à son âge et à ses ressentis.

    Il est évident qu'un sujet ne peut traiter tous les cas particuliers

    et est donc toujours incomplet de ce point de vue.

     

    DANS LA SÉRIE "LES GRANDS DOSSIERS", les vidéo sont mises à

    jour régulièrement. Si vous n'y avez pas accès un jour, revenez un autre jour !

    Il y a aussi des vidéos censurées et, pour elles, je ne peux rien !

    Merci !

     

     

     

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    COMMENT BRONZER SANS BRÛLER

     

    Ça y est, le soleil est revenu !  Après 6 mois de grisaille et un printemps complètement

    pourri, on peut enfin savourer le retour de notre bonne étoile et de ses rayons bienfaisants.

    IL y a de nombreuses vertus au rayonnement solaire.

    Le bain de soleil est un facteur naturel de santé que nous avons toujours…

    chaudement recommandé, notamment parce que l’exposition de la peau aux UV est le meilleur

    moyen de fabriquer et de  faire des réserves de vitamine D. 

    Naguère, on connaissait parfaitement les immenses bienfaits du soleil et la médecine ne se privait

    pas de prescrire des séances d’héliothérapie, même pour les enfants en très bas âge.

    Regardez les photos presque incroyables publiées sur un site américain : elles montrent qu’au

    siècle dernier,  on n’hésitait pas à mettre les bambins au soleil et que les familles sans

    jardin suspendaient des cages à leur balcon pour pouvoir exposer les bébés !

    Si des parents faisaient ça aujourd’hui, ils seraient taxés de maltraitance et quasiment

    considérés comme des criminels. Sous l’influence des fabricants de crèmes solaires et des

    dermatologues eux-mêmes corrompus par les industriels, nous avons sombré en quelques

    décennies dans une héliophobie totalement irrationnelle.

    Il serait temps de bazarder cette paranoïa absurde et de rendre justice à notre instinct qui

    nous pousse chaque été à chercher le soleil et ses caresses bénéfiques.

    Allez les vacanciers hâlés, c’est vous les plus futés ! Cela dit, on n’est pas obligé de bronzer idiot.

    Même si on peut soupçonner une confusion entre cause et conséquence (les gens qui exagèrent

    étant les plus carencés), certaines études ont montré une corrélation entre la fréquence des coups

    de soleil et l’incidence des cancers de la peau. Il est raisonnable d’y voir une relation causale

    et il est donc judicieux d’éviter de mettre son épiderme à trop rude épreuve en le faisant rôtir

    sans précautions. Lesquelles ?

    Vous imaginez bien que nos conseils pour bronzer en sécurité vont diverger de ceux étalés dans

    la presse entre deux publicités pour les protections solaires.

    Nos neuf recommandations s’écartent sensiblement de ce qu’on peut lire habituellement à pareille

    époque et les deux premières se situeront même aux antipodes du discours dominant.

     

     

    1) Bannir les lunettes de soleil

    Commençons par la suggestion la plus insolite : abandonnez vos lunettes de soleil et ne les chaussez

    qu’en cas d’éblouissement excessif (la neige en hiver, les reflets de l’eau en été).

    Le reste du temps, les protections oculaires n’ont aucune utilité sanitaire, que du contraire !

    Autant savoir que notre cerveau reçoit des millions d’informations par seconde et qu’il les traite

    pour maintenir l’homéostasie, c’est-à-dire les caractéristiques physiologiques propices à la vie. 

    C’est par le nerf optique, à travers la rétine, que notre super ordinateur cérébral

    reçoit notamment les données relatives à la luminosité et donc à l’ensoleillement.

    Ces infos sont transmises aux terminaisons nerveuses situées dans le derme, lequel va à son

    tour « préparer » l’épiderme à s’adapter aux circonstances.

    Si la lumière solaire est filtrée, le message est évidemment tronqué et le tissu cutané sera mal

    tuyauté. En trompant le cerveau, les lunettes fumées mettent ainsi la peau en danger puisqu’elles

    les privent des signaux d’avertissement.

    Résultat : elle croit qu’il fait presque nuit et se croit à l’abri de la surchauffe.

    C’est en tout cas ce que soutient la naturopathe et navigatrice France Guillain, qui incite à se passer

    de verres solaires pour bronzer en sécurité.

    Personnellement, cela fait plus de dix ans que j’y ai totalement renoncé sans aucun regret.

    J’ai effectivement observé que ma peau exposée ne rougissait plus jamais, signe qu’elle est mieux

    informée du contexte climatique et que je ne dépasse plus son seuil de tolérance aux UV.

    Essayez pour voir, vous n’allez pas pleurer vos lunettes noires !

    Comme il le relate ici, c’est l’expérience qu’a faite aussi mon confrère journaliste Rodolphe Baquet.

    Malgré ses yeux bleus, lui non plus ne regrette pas d’avoir lâché cet accessoire très accessoire.

     

    2) Ne pas faire écran

    Tant qu’à faire, jetez aussi à la poubelle les crèmes protectrices que l’abrutissante propagande

    médiatique vous aura peut-être fait acheter.

    D’une part parce que les filtres chimiques qui absorbent les rayons UV peuvent avoir des effets

    nocifs une fois qu’ils pénètrent dans la peau, certains de leurs composants étant même soupçonnés

    d’être cancérigènes, ce qui serait un comble.

    Comme le souligne cet article, le nombre de cancers chez l’enfant ne cesse de grimper chaque année

    et il est légitime de s’interroger sur la toxicité des nanoparticules largement employées par l’industrie

    cosmétique.  D’autre part, il faut bien comprendre que les écrans solaires ont un impact similaire à celui

    des lunettes : ils trompent la peau et lui font croire qu’il y a peu, voire pas du tout de soleil dehors.

    Plus elles sont efficaces, plus les crèmes sont donc dangereuses !

    Elles poussent les tartiné(e)s à ne pas se méfier et elles désactivent les mécanismes de protection

    instinctifs. Comme aucun écran n’est totalement imperméable aux ultra-violets, l’épiderme va cuire

    et rissoler sans même que son propriétaire ne s’en aperçoive.

    Qui n’a jamais eu un coup de soleil alors qu’il avait consciencieusement recouvert son dos ou ses épaules

    de crème solaire à indice de protection élevé ?

    Quand on choisit de s’en passer, le corps retrouve progressivement sa capacité d’adaptation naturelle

    et le cerveau est averti en temps réel lorsque cela commence à brûler au niveau de la peau.

    Le soleil sera votre ami si aucun produit ne fait écran entre vous et lui.

    Les naturistes vous diront aussi que la présence d’une pièce de vêtement favorise les brûlures à

    proximité de celle-ci. Quand ils sont tout nus, Adam et Ève ne craignent pas ce que subissent les

    « textiles » cramés en bord de maillot.

    C’est le même phénomène que les crèmes, avec une peau fragilisée juste à côté de l’endroit

    où elle est couverte.

     

    3) Changer souvent de position

    Depuis quelques jours, mon chien Lucky goûte au plaisir retrouvé des bains de soleil.

    Il ne me tient plus compagnie dans mon bureau, il flemmarde sur la terrasse en pierre située plein sud.

    Comme d’habitude, mon compagnon à quatre pattes me donne des leçons de sagesse car il amadoue le

    rayonnement solaire en changeant souvent de position : une fois sur le côté, une fois de l’autre côté,

    avec retournement environ tous les quarts d’heure.

    L’alternance n’est bien sûr pas dictée par le souci d’un bronzage homogène, elle doit donc relever d’un

    instinct très intelligent. Régulièrement, mon Beagle va également se réfugier sous la table de jardin

    en cas de cagnard. Et si c’est vraiment la canicule, je le retrouve parfois couché sur la pierre du

    vestibule,  l’endroit le plus frais de la maison. Bref, mon pote Lulu m’enseigne comment hâler malin :

    en me retournant  fréquemment et en entrecoupant  les séances de solarium par des replis à l’ombre.

    Par rapport aux chiens, l’être humain peut multiplier les postures (sur le ventre, sur le dos, sur le côté,

    assis,  debout, couché, en tailleur, en chien de fusil, etc…) et ainsi diversifier la durée et les angles

    d’exposition. Cela laisse à la peau le temps de se rafraîchir et de « digérer » la quantité d’UV absorbée.

    Si vous vous contentez de faire la crêpe, pensez quand même à vous retourner pour ne pas coller dans la

    poêle. Et comme nos maîtres animaux, songez à vous replier souvent en zone ombragée.

    Même les lézards ne lézardent pas continuellement sous un soleil ardent !

     

    4) S’hydrater de l’intérieur

    Inutile d’insister sur l’importance de l’hydratation : une peau en santé est une peau bien hydratée.

    Les huiles et lotions végétales ne seront donc pas superflues pour entretenir l’épiderme et

    renforcer sa capacité à retenir l’eau. Comme toutes les béquilles, ces produits vont cependant

    déshabituer l’organisme à profiter de la loi de l’hormèse et à renforcer naturellement sa résistance

    aux rayons desséchants. À l’hydratation extérieure, il convient donc de préférer ou d’ajouter une

    bonne hydratation intérieure. N’ayant qu’elle à disposition, mon ami Lucky se la ménage grâce à l’eau

    de son écuelle qu’il lape avec avidité par temps ensoleillé.

    Contrairement à une idée reçue, ce n’est pourtant pas l’eau qui est la boisson la plus hydratante.

    Selon une recherche récente, la molécule d’H2O est moins hydratante que le lait (surtout écrémé),

    le jus d’orange, le thé noir chaud ou froid et les boissons sportives spécialement formulées pour

    hydrater avant,  pendant ou après l’effort.

    En raison de sa teneur en électrolytes, en calcium et en acides aminés, le lait serait donc l’allié

    tout indiqué des futurs bronzés. Mais pourquoi privilégier un liquide doté d’inconvénients (présence

    de lactose, protéines allergisantes et en excès, peptides apparentés à l’opium…) alors que certains

    aliments solides peuvent faire mieux ? C’est une chose souvent ignorée, mais l’eau contenue dans les

    aliments aqueux est la plus hydratante qui soit. Du fait qu’elle est « structurée » par la nature ,

    c’est-à-dire organisée spatialement dans l’aliment, elle « abreuve » plus facilement les cellules.

    Pour favoriser l’hydratation endogène, il est donc indiqué de consommer des fruits (agrumes, fraise,

    melon, pastèque…) et des légumes (concombre, tomate, courgette, blette, épinards…) riches en eau.

    Sous forme de jus ? Perso, je ne souscris pas aux recommandations de Thierry Casasnovas et à son

    amour immodéré pour l’extracteur. Débarrassé de ses fibres, le jus obtenu peut s’avérer être une

    bombe glycémique et épuiser à la longue le pancréas, faisant ainsi le lit du diabète.

    C’est à mes yeux un aliment ultra-transformé excessivement dénaturé. Je lui préfère de loin les

    smoothies obtenus au blender, et surtout les smoothies verts car la chlorophylle est un catalyseur

    d’hydratation très performant. Si vous me demandez mon avis, je ne pense rien de bien de l’ « eau de

    chlorophylle »  la dernière tendance à la mode. Ce n’est pas un produit 100% naturel, c’est une pure

    stratégie marketing, et ça ne remplace pas les jus de légumes frais faits maison,

    hydratants intérieurs hors-pair.

     

    (Yves Rasir, Néosanté)

     

     

    COMMENT BRONZER SANS BRÛLER

     

     

     

     

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    Mais tout d’abord, pourquoi bien respirer ?

     

    Parmi les innombrables bienfaits de la respiration, on peut citer :

     

    La diminution voire l’élimination du stress, des angoisses et de l’anxiété.

    La respiration a une influence sur l’ensemble du système nerveux. Plusieurs études scientifiques montrent

    aujourd’hui que la méditation et la respiration consciente ont des impacts très concrets sur le cerveau

    (effet anxiolytique, augmentation du volume du cortex cérébral, etc.)

     

    La diminution de l’hyper émotivité.

    Notre respiration est instantanément modifiée lorsque nous sommes sous l’emprise d’émotions.

    Dès lors, en gardant un souffle lent, profond et conscient quelle que soit la situation que nous vivons,

    nous pouvons garder plus de contrôle sur nos émotions.

     

    Une meilleure stabilité du rythme cardiaque et une meilleure régulation de la tension artérielle.

     

    L’amélioration de la circulation veineuse.

    Le diaphragme, moteur de la respiration, agit comme une pompe qui active la circulation veineuse.

     

    Le rééquilibrage du pH sanguin.

    Lorsque nous inspirons, nous ingérons l’oxygène.

    Lorsque nous expirons, nous rejetons le gaz carbonique.

    Et les taux relatifs de ces deux gaz dans le sang déterminent son pH.

     

    L’amélioration de la digestion et de l’élimination.

    De par son rôle de pompe, le diaphragme offre aux organes internes un massage nécessaire

    à leur bon fonctionnement.

     

    La régulation du système hormonal, et notamment de la production d’adrénaline.

     

    La production d’énergie

     

    L’élimination des toxines, qu’elles soient physiologiques ou mentales

     

    Le redressement du dos et une meilleure position du corps

     

    1) Observez votre respiration

     

    C’est la première étape essentielle : respirer en conscience.

    Il ne sert à rien de vous précipiter directement dans des exercices de respiration, même les plus simples,

    si vous ne prenez pas d’abord le temps d’observer.

    Observez :

    Le rythme de votre souffle : respirez-vous vite ou lentement ?

    Avez-vous le souffle court ou une respiration ample ?

    Votre respiration est-elle abdominale ou haute ?

     

    Le passage de l’air dans le nez : sentez le passage de l’air qui « frotte » l’intérieur des narines

    et sentez la différence de température entre l’air frais qui entre à l’inspiration et l’air plus chaud

    qui sort à l’expiration. Si vous avez des difficultés sur aspect tactile, imaginez que vous voulez sentir

    un parfum léger quelque part au loin dans la pièce.

    Vous devez ouvrir grand les narines pour sentir cette odeur.

     

    2) Tenez-vous droit

     

    Que ce soit debout ou assis, vous ne pouvez pas respirer correctement si vous gardez le dos vouté,

    la poitrine et les épaules fermées ou, à l’inverse, si vous êtes trop cambré.

    Vous pourrez peut-être sentir rapidement que le redressement et le souffle s’influencent mutuellement.

    Si je me redresse, le souffle se débloque. Et si je respire profondément et correctement, le corps s’aligne.

    En effet, la position du corps impacte le fonctionnement du diaphragme.

    Celui-ci ne peut pas assurer correctement son rôle de pompe qui monte et descend si le corps est affaissé. 

     

    3) Commencez par expirer

     

    Souvent, quand on dit à quelqu’un : “Respire”, que fait la personne ?…  Elle inspire.

    Et pourtant, les poumons sont des récipients. Vous ne pouvez pas bien les remplir si vous ne les avez pas

    d’abord bien vidés.

    Pour bien respirer, vous devez toujours commencer par expirer complètement.

    Pensez à bien gainer le ventre jusqu’au bout de l’expiration avant de prendre une nouvelle inspiration. 

     

    4) Développez la respiration abdominale

    Apprendre à respirer avec le ventre est très important !

    La respiration abdominale, dite aussi respiration naturelle, est la respiration de santé.

    C’est celle que nous devrions utiliser au quotidien.

    Or ce n’est pas souvent le cas. Dans le stress du quotidien, notre respiration est souvent trop haute,

    et donc trop courte et trop rapide. 

     

    5) Respirez en rythme

     

    Au quotidien, notre respiration est irrégulière.

    Elle suit les fluctuations de nos activités, de nos émotions, de nos stress, …

    Par exemple, ma respiration sera différente :

    Si je cours, si je marche, si je suis assise ou si je dors

    Si je pense à quelque chose d’agréable ou de désagréable

    Si je suis concentré ou si je me repose

    Si je suis détendu ou stressé

    etc.

    Remettre de la régularité dans le rythme respiratoire est ce qui va remettre de l’équilibre dans

    l’organisme et stabiliser le mental.

    Les deux rythmes de base en yoga sont :

    Le rythme égal : l’inspiration est égale à l’expiration (par exemple :  je compte jusque 4 à l’inspiration

    et à l’expiration)

    Le rythme inégal : l’expiration est deux fois plus longue que l’inspiration (par exemple : je compte jusque 4

    à l’inspiration et jusque 8 à l’expiration)

    Comptez quand vous respirez et allongez progressivement vos souffles.

    Comptez lentement sur le rythme du mantra.

     

    6) Prenez conscience des 3 étages de la respiration

     

    Les 3 étages de la respiration sont les étages abdominaux, thoracique et claviculaire.

    On peut :

    Les travailler séparément.

    Ou les remplir et les vider les uns après les autres, c’est ce qu’on appelle

    la respiration complète.

     

    7) Pratiquez régulièrement

     

    Pour reprendre les mots de mon professeur, l’important est de “garder le contact”.

    Vous ne pourrez obtenir toutes les belles promesses citées en début d’article sur les bienfaits de la

    respiration que si vous pratiquez. Si votre horaire est serré, préférez respirer en conscience quelques

    minutes 1 à 3 fois par jour plutôt que de faire de longues mais rares séances.

    Vous pouvez choisir des moments privilégiés dans la journée le matin ou le soir et prendre 10 ou 15 minutes

    pour respirer en conscience.

    Mais vous pouvez aussi tout simplement, de temps en temps dans la journée, arrêter l’activité que vous

    êtes en train de faire, et prendre 1 à 3 minutes pour fermer les yeux et revenir sur votre souffle.

     

    Comment bien respirer : une petite astuce

     

    Pour bien respirer, je pense qu’il est bien de comprendre également quel est le rôle des différents

    acteurs de la respiration.

    A quoi servent précisément le diaphragme, la gorge et le nez ? Comment conceptualiser leur rôle ?

     

    Le diaphragme : la pompe

    Même s’il n’est pas tout seul, le diaphragme est le muscle principal de la respiration.

    Il fonctionne comme un piston qui monte à l’expiration et descend à l’inspiration.

    On peut le comprendre comme le moteur, la pompe qui fait fonctionner le système.

    Avec quelques autres muscles de la cage thoracique, il participe au volume de celle-ci et donc au volume

    d’air qu’on peut faire entrer dans les poumons à chaque respiration.

     

    La gorge : le régulateur

    La gorge est un point clé dans la respiration et son rôle est très important.

    Quand on pratique du pranayama, on installe l’ujjayi, une contraction au niveau de la gorge.

    Outre ses qualités sur le plan énergétique, l’ujjayi a un rôle physiologique fondamental dans la respiration :

    il permet de contrôler le débit de l’air et donc la vitesse à laquelle nous respirons : la fréquence

    respiratoire. L’ujjayi permet de très facilement ralentir la respiration.

     

    Le nez : le bienheureux observateur

    Même si, dans notre conception de la respiration, on pense tout de suite au nez, celui-ci n’a en fait pas

    grand-chose à « faire ». Il est là pour observer et profiter. Ne croyez pas que cela veut dire qu’il n’a

    pas d’importance. Au contraire … La majorité des techniques du yoga (même les postures) servent avant

    tout à une chose : déboucher le nez et équilibrer le passage de l’air dans la narine gauche et la narine droite.

     

    Le yoga nous apprend qu’une façon de se remplir en énergie subtile se fait par le souffle et notamment

    par la saveur et le plaisir qu’on peut retirer dans l’acte de respirer.

    C’est ici que le nez a tout son rôle a jouer car c’est à travers la sensation tactile de la respiration

    dans le nez qu’on peut retirer cette sensation de plaisir qui nous remet dans l’instant présent.

     

     (https://votreyoga.com/)

     

    COMMENT BIEN RESPIRER, EN 7 ETAPES

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    LES DIX COMMANDEMENTS PARADOXAUX

     

     Les gens sont déraisonnables, illogiques et égocentriques. 

    Aimez-les quand même.

     

    Si vous êtes désintéressé, les gens vous prêteront des motifs égoïstes et calculateurs. 

    Soyez désintéressé quand même.

     

    Si vous réussissez, vous gagnerez de faux amis et de vrais ennemis.

     Réussissez quand même.

     

    Le bien que vous faites aujourd’hui sera oublié demain. 

    Faites-le bien quand même.

     

    L’honnêteté et la franchise vous rendent vulnérable. 

    Soyez honnête et franc quand même.

     

    Ceux qui voient grand peuvent être anéantis par les esprits les plus mesquins. 

    Voyez grand quand même.

     

    Les gens aiment les petites gens, mais préfèrent suivre les puissants.

     Luttez pour les petites gens quand même.

     

    Ce que vous avez mis des années à bâtir peut être détruit du jour au lendemain. 

    Bâtissez quand même.

     

    Les gens ont besoin d’être secourus, mais certains se retourneront contre vous si vous les aidez.

     Aidez-les quand même.

     

     Si vous donnez au monde le meilleur de vous-même, vous risquez d’y laisser des plumes. 

    Donnez le meilleur quand même.

     

    (Kent M. Keith)

     

    LES DIX COMMANDEMENTS PARADOXAUX

     

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    10 ASTUCES POUR FAIRE DE LA MEDITATION UN ART DE VIVRE

     

    Je médite tous les jours depuis plus de 15 ans.

     

    Je comprends tout à fait le défi de conserver sa motivation

    dans la pratique de la méditation.

     

    À travers les années, j’ai développé quelques trucs pour me permettre

    de garder la flamme bien vivante.

     

    Comme toute relation, au début la méditation se fait avec exaltation

    et une joie débordante.

     

    Ensuite, l’attrait de la nouveauté s’estompe et il est nécessaire

    de véritablement développer une discipline joyeuse.

     

    La pratique de la méditation est un entrainement de l’esprit.

     

    Comme tout entraînement, il est nécessaire de la pratiquer régulièrement pour en

    retirer tous les bienfaits sur le corps et l’esprit.

     

    Pour vous aider à intégrer ce nouvel art de vivre, voici 10 astuces

    pour débuter la méditation :

     

    Trouvez la bonne technique de méditation pour vous :

     

    Quelle soit contemplative, active, analytique

     

    ou inspiré des techniques de pleine conscience, la méditation est riche

    et diversifiée.

     

    Trouvez celle qui vous convient et aller en profondeur dans votre

    pratique avec enthousiasme.

     

    Affirmez vos intentions : Rappelez-vous vos objectifs de médiation

    avec chaque séance.

     

    Générer un esprit plein de gratitude afin d’avoir les conditions favorables

    pour cette pratique dans votre vie.

     

    Soyez bienveillant envers vous-même :

     

    Ne soyez pas trop sévère ni trop sérieux dans

    la pratique de la méditation.

     

    Restez léger et ne jugez pas vos distractions ou votre degré

    de concentration. L’important est de participer.

     

    Réjouissez-vous de chaque pratique en observant

    les bienfaits immédiats dans votre esprit et votre corps.

     

    Soyez constant :

     

    Il est préférable de débuter 5 minutes de méditation chaque jour

    durant une année que débuter avec une heure de méditation par

    jour et se décourager après quelques semaines.

     

    L’important est de trouver un moment chaque jour pour faire votre

    méditation et conserver votre discipline joyeuse.

     

    Ayez la bonne posture :

     

    Prenez une posture qui favorise à la fois la vigilance et la détente.

     

    La position coucher n’est vraiment pas la meilleure mais il n’est pas nécessaire

    de faire la position du lotus également.

    Soyez assis dans une position confortable, relaxez votre corps, soyez

    digne et débuter votre méditation.

     

    Créez un lieu inspirant :

     

    Bien que la méditation puisse se faire dans tous les environnements,

    il est bien plus inspirant de créer un lieu dédié si vous en faites une pratique régulière.

    Que ce soit en nature, devant un bouddha ou face à une peinture, entourez-vous de

    beauté pour méditer et votre motivation n’en sera qu’augmenté.

     

    Ayez un rituel de méditation :

     

    Pour ma part, je mets une musique douce, allume toujours un

    encens et une bougie sur mon autel avant de méditer.

    Parfois juste se laver les mains et le visage est suffisant pour marque une

    transition entre la vie de tous les jours et ce moment privilégié

    avec vous-même.

    Un petit rituel du genre a comme bénéfice de préparer votre esprit à la

    méditation en plus de créer les meilleures conditions pour votre méditation.

     

    Faites des lectures inspirantes :

     

    Soutenez votre motivation en lisant sur des sujets de développement

    spirituel et personnel.

    Nourrissez votre esprit avec des lectures qui vous amèneront dans une

    meilleure compréhension des bienfaits de la méditation.

    Apprenez de nouvelles méditations pour enrichir et diversifier votre pratique.

     

    Faites une expérience de retraite immersive :

     

    Faites une expérience intense de la pratique de méditation pour vous

    permettre de développer votre pratique et sentir de manière intense

    les bienfaits de la méditation. Une expérience de quelques jours vous permettra

    de voir des changements immédiats et durables dans votre esprit

    et votre niveau d’énergie.

     

    Dédiez votre pratique :

     

    À la fin de votre méditation, générez le souhait que cette pratique vous

    permettre d’être une personne meilleure pour vous-même et les autres.

    Affirmez vos intentions pour la journée et prenez refuge dans votre esprit

    bienveillant qui s’est manifesté en vous.

     

    Soyez fiers de votre pratique peu importe comment elle s’est produite.

     

    Vous avez fait de votre mieux, bravo!

     

    Martin Bilodeau, Montréal

     

     

     

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