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Par Danishacreations le 24 Février 2018 à 18:52
Votre homme porte ses caleçons si usés que ça en devient gênant…
Vous êtes à bout ?
Sachez que vous n’êtes pas seule à souffrir de voir Monsieur garder ses sous-vêtements
bien au-delà de toute limite raisonnable de péremption ;
Slips dont l’élastique baille de façon absolument indécente, caleçons aux motifs
de Mickey devenus invisibles depuis plusieurs années, boxer façon passoire
dont les trous laissent apparaître une peau blanchâtre parsemés
de quelques poils (sexy, non ?)…
Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il les rentabilise ses fichus sous-vêtements
pendant que vous, irrécupérable coquette, irresponsable panier percé, dépensez
l’argent du ménage en lingerie fine dans le seul but de lui plaire.
Vous devriez avoir honte !
Quoi qu’il en soit, un sondage commandité par une marque de sous-vêtements
masculins (Zeeman, qui doit désespérer de ne pas voir ses ventes décoller)
révèle que les cas sont légion.
L’étude, menée auprès de 300 conjointes, qu’on imagine hésiter entre divorce et
relation extraconjugale, montre que 50% des hommes portent régulièrement
un sous-vêtement usé.
Même s’il est troué.
Oui, c’est la triste réalité.
Et pourquoi diable ces messieurs s’obstinent-ils à conserver ces loques
dignes d’un homme de Cro-Magnon ?
- Parce qu’ils ne s’intéressent pas à leurs sous-vêtements à 41 %.
Ce qui est vraisemblablement tout aussi valable pour les chaussettes et les
fringues en général. Ce sont les plus irrécupérables et, malheureusement, les plus nombreux.
- Parce qu’ils ne remarquent même pas qu’il est usé à 24 %.
En général, ils ne remarquent pas non plus que vous êtes allée chez le coiffeur...
- Parce qu’ils y sont très attachés à 24 %.
Là on est dans le registre pathologique. Une thérapie s’impose.
Demandez-lui jusqu’à quel âge il a conservé ses doudous,
il devrait selon toute logique répondre 24 ans.
- Parce qu’ils trouvent que leur ancien slip est confortable comme il est à 21 %.
Ce sont ceux qui ne porteront pas les slips neufs que vous êtes aller acheter
avec amour à Monoprix.
Une seule solution, la violence :
jetez les vieilles nippes à la poubelle !
- Parce qu’ils n’ont pas envie d’y consacrer du temps à 16 %.
Pensez donc, il y a mieux à faire que s’occuper de ces méprisables questions
d’apparence, c’est bon pour les femmes ça.
Une bien triste réalité mais, comme vous pouvez le constater Madame,
vous n’êtes pas seule à souffrir au quotidien de cet affligeant spectacle...
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Par Danishacreations le 8 Février 2018 à 17:02
Bains bouillants, boissons chaudes, gros pulls...
La liste des erreurs que vous commettez en tentant de vous réchauffer est longue.
Voici les bons conseils pour survivre aux températures hivernales.
Après une longue période d'accalmie, une vague de froid s'abat de nouveau sur le pays.
Vous avez ressorti les pulls, l’écharpe XXL et vous pensez sérieusement à revêtir vos gants.
Pour combattre la baisse du mercure, chacun y va de sa petite habitude.
Sauf que certaines n'accomplissent pas la tâche, voire provoquent l'effet inverse.
Suivez le guide pour vous réchauffer et éviter le bon vieux rhume hivernal.
Boire trop chaud
Pour faire face aux températures qui baissent, rien de tel que de tremper
ses lèvres dans un bon chocolat chaud.
Erreur.
Pendant un laps de temps très court, précisément celui où l’on savoure notre
chocolat viennois, le corps connaît effectivement une sensation de chaleur.
Mais cela ne dure pas, au contraire.
«L'organisme doit conserver une température constante. Confronté au chaud
ou au froid, il lutte pour la rééquilibrer.
Ainsi, quand on absorbe une boisson bouillante, l’organisme transpire et se refroidit»,
La solution ? Opter pour des boissons tempérées, comme des tisanes tièdes
ou laisser légèrement reposer sa soupe avant de dîner.
Prendre des bains brûlants
Qui ne rêve pas, en rentrant d’une dure journée de travail, de se plonger
dans un bain fumant et d’y rester pendant une heure ?
Au risque de décevoir, le geste est inefficace.
«À l'instar des boissons chaudes, le corps se réchauffera sur le moment mais
refroidira à la sortie». Rassurez-vous, il faut aussi éviter les douches trop froides,
moins attrayantes mais tout aussi inutiles.
Conclusion, on règle le mélangeur sur une température moyenne.
Manger trop gras
Privilégiez les épices, tel que le gingembre
On pense souvent que des plats riches en calories réchauffent le corps en hiver.
À tort, «sauf si vous êtes un ours polaire»
Sans compter que le gras ralentira et perturbera la digestion.
«Pour augmenter la température du corps, il est primordial d’améliorer la circulation
sanguine pour amener la chaleur aux extrémités. Privilégiez ainsi les épices,
tel que le gingembre, un aphrodisiaque qui réchauffera vos nuits par la même occasion.
Le pain d’épices et l’ail sont aussi d’excellents aliments pour une bonne circulation.»
Boire de l’alcool
Le traditionnel verre de vin chaud en plein hiver rehausse-t-il réellement
la température ? Malheureusement non.
«Certains types d'alcool dilatent les vaisseaux sanguins, ce qui laissera le froid
pénétrer plus facilement. De plus, l'alcool se contente de déplacer la chaleur
corporelle interne vers la surface de l'organisme, d'où le phénomène
des joues rouges». Cette sensation cessera d'ailleurs dès la dilatation terminée
et la sensation de froid sera plus intense encore.
Ne pas aérer son appartement
Certes, il fait - 5°C dehors, mais ce n'est pas une raison pour laisser ses fenêtres
fermées pendant trois mois. Comme en été, il est essentiel de ventiler les pièces de vie.
«Ouvrir les fenêtres pendant cinq ou dix minutes ne baissera pas la thermomètre et ne
nous fera pas tomber malade non plus.
C'est le fait d’être confiné avec d’autres personnes dans un endroit clos
qui favorise le développement des microbes beaucoup plus rapidement,
pas le froid.» En clair, on aère tous les jours durant une dizaine de minutes.
Ne porter qu'un seul vêtement très chaud
Pour bien dormir, la pièce ne doit pas dépasser les 19 degrés.
«J’aurais dû mettre un plus gros pull» vous dites-vous, grelottant à l’arrêt de bus.
Détrompez-vous, ce n’est pas la taille qui compte.
Mieux vaut superposer des matières plus fines, que de porter uniquement
un tee-shirt et une grosse doudoune.
«Il faut accumuler les couches de vêtements.
Cela crée des espaces d’air, ce qui protège le corps de l’entrée du froid.
Je préconise au moins trois couches». Coté tissus, le coton est le meilleur ami de la
peau puisqu’il lui permet de respirer et de ne pas transpirer, à la différence
des matières synthétiques. Pour les autres couches, la laine, le velours ou encore
le cachemire vous permettront de passer un hiver tout doux et bien au chaud.
Augmenter le chauffage pour dormir
Le chauffage est le faux-ami du sommeil.
En augmentant la puissance, on risquera de se réveiller plusieurs fois en plein milieu de la nuit.
De plus, cela favorise le choc thermique au moment de la sortie de la chambre dès le réveil.
«Pour bien dormir, la pièce ne doit pas dépasser les 19 degrés».
Pour les grands frileux, mieux vaut multiplier les couvertures fines,
plutôt que de se faufiler sous une grosse couette.
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Par Danishacreations le 31 Janvier 2018 à 17:30
Qui ne s’est pas entendu poser cette question ?
Lors de la rencontre avec une nouvelle personne, dans un dîner,
lors de retrouvailles avec des copains d’enfance, ou encore en discutant avec un voisin.
« Qu’est-ce que tu fais dans la vie ? »
J’ai invariablement envie de répondre : « Moi ? oh dans la vie, je me promène,
je m’éclate, j’apprends des choses, je lis, j’admire la nature, je communique avec des
gens, je m’émerveille, je profite, JE VIS, quoi ! ».
Pourtant je sais bien que la question véritable est
« quel est le métier que tu exerces ? », comme si notre profession était
toute notre vie, comme si notre activité professionnelle était le premier,
voire le seul critère pour nous définir.
Alors oui, je sais, la plupart des gens passent la plupart de leur temps AU TRAVAIL,
mais je ne suis pas « juste » mon activité professionnelle.
Et surtout, je n’aime pas les étiquettes.
Je n’aime pas être mise dans une case selon que je suis secrétaire, ingénieur,
femme de ménage, chef d’entreprise ou avocate.
D’autant moins que, derrière cette question apparemment innocente
« qu’est-ce que tu fais dans la vie »,
il y a souvent un besoin de se comparer, de savoir ce
que vaut l’autre par rapport à soi.
« Il est assez stérile d’étiqueter les gens
et de les presser dans des catégories. »
(Carl Gustav Jung)
Vous n’êtes pas ce à quoi vous ressemblez physiquement,
vous n’êtes pas ce que vous faites,
vous n’êtes pas ce que vous possédez,
vous n’êtes pas ce que les autres pensent de vous…
Arrêtons de mettre les gens dans des cases,
de coller des étiquettes selon que vous êtes maigre, grosse, blonde,
handicapée, femme de ménage, cadre supérieur, issue d’une famille bourgeoise,
de nationalité étrangère etc.
Vous êtes bien plus qu’un corps physique, une couleur de cheveux,
une nationalité ou un métier. Vous êtes, avant tout,
un être spirituel qui vit une expérience humaine, avec des idées,
avec des rêves, des sentiments.
Vous êtes VOUS.
Soyez pleinement ce VOUS sans vous laisser enfermer dans des cases,
et sans étiqueter les personnes que vous rencontrez.
Sinon, vous passez à côté de leur essence, de leurs qualités.
Et sinon… euh… qu’est-ce que vous faites, vous, dans la vie ?
– bah je fais de mon mieux ! »Un message fort et sans détour qui a de quoi pousser à la réflexion
et remettre certaines idées en place.
Alors, la prochaine fois que vous aurez cette question sur le bout des lèvres,
tournez votre langue sept fois dans la bouche et demandez plutôt :
« Et toi, qu’est-ce que tu aimes dans la vie ? ».
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Par Danishacreations le 15 Janvier 2018 à 18:39
La tendance est au réveil très matinal pour rentabiliser son temps.
Une mode qui fait de plus en plus d'adeptes, notamment dans les grandes villes.
Mais ce « matin miracle » à l'américaine s'accorde en fait très mal avec notre
rythme naturel, lié à celui du soleil.
Pour cause : en été, en France, nous accusons déjà deux heures
d'avance sur l'heure solaire !
Se lever plus tôt que d’habitude pour vaquer à des occupations négligées ?
C’est la grande mode du moment, sur fond d'injonctions à changer de vie.
L’idée a été lancée en France en 2015 grâce à la diffusion sur internet du résumé
en français du best-seller de l’Américain Hal Eldrod, The Miracle Morning (2012).
Ce trentenaire devenu coach de vie défend que le loisir et la détente que l’on
s’accorde le matin bien avant de commencer sa journée professionnelle
- à travers des activités comme la méditation, le sport, la tenue d’un journal ou
encore la pratique de la visualisation positive -,
permettent d’entamer celle-ci de manière plus sereine.
Heure de réveil recommandée pour réaliser ces activités à haut
rendement individuel : 5h30.
On se lève déjà deux heures plus tôt !
Alors pourquoi pas, mais il y a tout de même une chose qu’il faut savoir :
c’est que lorsqu’il est 5h30 à notre montre, il est en réalité 3h30 environ,
soit deux heures de moins. Si nous sommes en été.
En hiver, il n’est « que » 4h30. Pour être plus justes, on devrait dire en
« période heure d’été » et en « période heure d’hiver ».
Car c’est là le problème qui nous occupe : l’heure à laquelle nous vivons,
l’heure « légale », n’est pas l’heure du soleil.
Pour en arriver là, il a fallu l’intervention du législateur, mais aussi d’autres
petits ajustements historiques : harmonisation au « temps moyen »
du temps solaire, par nature irrégulier, puis temps universel.
Du temps solaire au temps légal
L’heure légale française, décrétée en 1978, en été, nous décale précisément
de deux heures par rapport au temps universel, qui est lui-même un
ajustement moderne, à quelques minutes près, du temps solaire.
Le temps universel homogénéise l’heure par fuseaux horaires (UTC)
pour des raisons d’organisation. Cette harmonisation géographique
s’est construite progressivement du XVIe au XXe siècle.
Elle passe sur les quelques minutes qui séparent les heures locales au sein
d’un même fuseau horaire : avant 1891, l’horloge du palais ducal de Nancy
n’indiquait pas la même heure que la tour de l’Horloge de Dinan.
Les villes françaises vivaient à l'heure solaire.
L’essor des chemins de fer et la nécessité d’harmoniser les horaires des trains
sur le territoire national ont imposé par la suite de mettre
toutes les horloges à l’heure de Paris.
Un effort de guerre
Mais cet artifice n’est rien à côté des quelque 120 minutes de décalage horaire
que nous font subir les impératifs économiques qui ont présidé au premier
établissement de ce décalage artificiel, sous l’Occupation (avant, la France avait son
heure d’été, mais décalée d’une heure seulement et ce depuis 1916).
Toutes ces mesures, mises ensemble, créent un décalage variant, en été,
d'une heure et demi à deux heures par rapport au temps solaire,
et en hiver, variant d’une demi-heure à une heure, ce qui semble moins difficile
à supporter pour une majorité de personnes.
Les personnes du soir souffrent plus du décalage estival
En pratique, le 26 mars 2016, le soleil était au zénith à 12h56,
ce qui signifie que nous avancions de 56 minutes par rapport à l'heure solaire.
Le lendemain, une fois passés à l’heure d’été, le soleil était à son zénith à 13h56.
Hop ! Une heure de décalage supplémentaire.
Du 27 mars au 17 septembre 2016, en fonction des différents ajustements
astronomiques, ce décalage varie de 1h44 à 1h56 selon les jours.
Bref, difficile à encaisser pour nos organismes, alors aggraver cet écart
en se levant encore plus tôt que plus tôt… non merci.
Les personnes qui souffrent le plus du déphasage estival sont les enfants,
les personnes âgées, les personnes dont la vie est réglée comme du papier à musique et…
celles qui sont déjà du soir !
Des tempéraments vespéraux qui s’inquiètent souvent de leur manque d’énergie
le matin et désespèrent d’être fatigués au moment indiqué pour se coucher...
Forcément : le 25 mai 2016, lorsqu’il était officiellement 23h00, il n’était en réalité
que 21h12. Un peu tôt pour mettre la viande dans le torchon.
Des économies d’énergie contestées
Côté environnement, le prisme « vert » des économies d’énergie, les avis
diffèrent quant à l’impact réel de ces deux heures remises en place sous la présidence
de Valéry Giscard d’Estaing. L’Adème reste favorable à la mesure tandis que
certaines associations y sont opposées pour des raisons de santé publique,
d’autres enfin souhaitant, pour faire bonne mesure, ne retirer qu’une heure
d’ensoleillement artificiel sur les deux que la France et l’Espagne s’offrent en été.
Un record : la majorité des autres pays européens n’avancent raisonnablement
que d’une heure pendant la période estivale.
Plus matinaux que les poules ?
Se lever non pas avec les poules, mais avant elles, n’est donc pas une bonne idée,
à moins que vous soyez vraiment matinal de nature.
Alors, que faire pour profiter malgré tout de nos matinées et nous offrir ces
moments de détente recherchés ?
Comment, d'abord, renouer avec le rythme du soleil ?
Les personnes les plus sensibles au décalage dû à l'heure légale éviteront à
tout prix de se lever trop tôt, notamment en automne, lorsque les jours
commencent à raccourcir.
Au contraire, si vous êtes du soir (un test à faire pour le savoir), faites plutôt
une bonne « fausse grasse mat'» : levez-vous peu après le soleil, mais pas avant lui.
En été, le soleil se lève malgré tout bien plus tôt qu'en hiver, même si ce n’est
pas à l’heure qu’indiquent nos montres. Exemple pour le 7 août 2016 : le « midi vrai »
(soleil au zénith) a lieu à 13h55. À 5h30, il sera donc « en vrai » 3h35.
Mais ce jour-là, le soleil est de toute façon très matinal : son lever est annoncé ( !)
à 6h32, les adeptes du Miracle morning peuvent donc raisonnablement régler
leur réveil à cette heure-là (il sera « en vrai » 4h37).
Déjeuner à l’espagnole
L’idée étant d’essayer de vivre au rythme du soleil, ou le moins en décalage
possible, essayez d’adapter vos horaires de travail : si votre employeur vous
l’autorise, adoptez les horaires des grandes villes, où les journées de
travail commencent généralement plus tard.
Si vous franchissez la porte de votre entreprise à 9h00, entre mars et juillet,
il est en réalité autour de 7h00 du matin. Pas si mal pour commencer une dure
journée de labeur. Si votre travail nécessite de vous lever aux aurores
(agriculteurs, infirmières, personnel de garde…), vous ne cherchez
certainement pas à vous lever plus tôt, et tant mieux.
En revanche, pour tout le monde, on peut décaler un peu son heure de déjeuner,
vers 14h00. Déjeuner à 15h00, même, ne serait pas une idée loufoque.
Réglez votre montre à la vraie heure
Pour prendre conscience de l’heure réelle, même si l’on ne peut pas s’y adapter
à tous les moments de la journée, notamment au travail,
réglez votre montre à « l’heure vraie ».
Cela vous aidera au moins à cesser de culpabiliser lorsque
vous vous sentez en décalage.
Certaines applications indiquent l’heure du soleil avec précision chaque jour
(Sun Surveyor, gratuite). Pour la calculer, il faut que les données comprennent
l’heure du zénith, le « midi vrai ». C’est le repère à prendre pour régler sa montre
à l’heure solaire, qui varie comme on l’a dit de quelques minutes chaque jour.
Ce type d'applications, souvent destinées aux photographes à la recherche
des beaux reflets de l’heure bleue, permet en outre de connaître
l’heure de lever et de coucher de l’astre, ce qui ne sera pas inutile
pour savoir quand vous coucher en hiver et en été.
Matin miracle version express
Que faire maintenant pour s’offrir ces moments de détente et d’introspection
qui favorisent notre bien-être et notre concentration ?
L’idée est bonne en soi.
Simplement, essayez de déplacer un maximum de ces activités personnelles
au soir, notamment ce qui ne sert pas directement à optimiser la journée qui va suivre.
On peut réduire certaines activités à des temps plus courts le matin,
l’idée essentielle étant de dérouler ce petit enchaînement de moments dédiés à soi
et de trouver son rythme : le sport peut être réduit à quelques mouvements de « dérouillage »
et faire l’objet d’une séance plus longue en fin d’après-midi.
Méditation et prière ont des effets positifs davantage liés à la régularité et à la qualité
qu’au temps passé. Enfin, le soir, si vous vivez à l’heure solaire, vous avez logiquement
plus de temps pour vaquer aux autres occupations : formation, lecture, to-do-lists...
Le matin, contentez-vous d'un récapitulatif rapide des actions à mener dans
la journée, déterminez un objectif, captez une citation qui vous donnera du courage…
Comme l’explique le Dr Sylvie Royant-Parola, spécialiste du sommeil, au site Metronews,
« prendre le temps de se réveiller est une bonne chose quelle que soit l’heure du lever ».
Le temps vrai au pays des horlogers
Du matin au soir, adaptez votre vie au rythme du soleil et cessez de regarder
trop votre montre légale. Grâce à une montre réglée à l'heure naturelle, on peut
au moins prendre conscience de la réalité, ce qui est une libération en soi
pour le psychiatre suisse Olivier Spinnler :
« Quand je discute d’insomnie avec mes patients, (...) si quelqu’un se plaint
de ne pas pouvoir s’endormir avant 1 heure du matin et d’avoir de la peine
à se lever avant 8 heures et demie, (...) en heure solaire, au printemps,
cela donne : "Je n’arrive pas à m’endormir avant 23 heures 30 et j’ai de la
peine à me réveiller avant 7 heures."
Vous serez d’accord avec moi que ce n’est pas vraiment anormal ! »
Selon ce médecin, l'inconfort dû à l'heure artificielle se ressent de plus en plus
à mesure que l'on avance en âge.
Régler une deuxième montre au « vrai » temps est la première des solutions
pour lui, ce qui n'est pas un luxe au pays de l'horlogerie.
« En ce qui me concerne, la différence est spectaculaire sur mon vécu de la
journée. Cela a clairement éliminé une "tension interne " dont j’ai fini par comprendre
qu’elle était liée à cette distorsion entre le temps vécu et le temps subi ».
Cette deuxième montre sera utile à la plage pour éviter de s'exposer aux mauvaises
heures : entre midi et 16 heures. Vraies.
Maintenant, vous saurez quoi répondre si on vous dit que
vous cherchez midi à quatorze heures !
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Par Danishacreations le 24 Décembre 2017 à 16:17
"Noël n'est pas seulement une journée pour ouvrir des cadeaux...
C'est aussi une journée pour ouvrir notre cœur !"
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Par Danishacreations le 22 Novembre 2017 à 14:51
En frites, en purée ou en gâteau, la patate douce se déguste à tout moment.
Ses atouts charme dans l'assiette ?
Sa couleur chaude et sa texture gourmande.
Découvrez pourquoi la patate douce
est votre nouvelle meilleure alliée santé.
Belle peau
Il n'y a pas que la carotte dans la vie, pourrait dire Fifi Brindacier.
D'autant plus que la patate douce est riche en bêta-carotène, un composant
qui rend votre peau un peu plus hâlée à chaque fois que vous en mangez.
Mémoire dans la peau
Certains pigments permettraient de réduire les risques de détérioration
de la fonction cognitive et renverseraient certains troubles de la mémoire.
A bas le cholestérol
Grâce à ses composés phénoliques, la patate douce pourrait prévenir l'oxydation
du mauvais cholestérol (LDL) et donc réduire les risques
de maladies cardiovasculaires.
Défense de l'organisme
Le polysaccharide que l'on trouve dans la patate douce exercerait des
effets bénéfiques sur le système immunitaire, en augmentant les lymphocytes,
facteur nécessaire à la défense de l'organisme.
Contre le diabète
A prendre avec des pincettes.
La patate douce blanche pourrait diminuer la résistance à l'insuline et donc améliorer
le contrôle de la glycémie chez les personnes atteintes de diabète type 2.
Toutefois, la patate douce est riche en glucides,
un nutriment à contrôler pour les diabétiques.
Contre le cancer
Des chercheurs ont mis en évidence la diminution du risque du cancer du sein
chez les femmes ménopausées, avec l'augmentation de la consommation
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