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    HYPERSENSIBLES ET FIERS DE L'ÊTRE

     

     

    Pour certains ils sont vulnérables, fragiles ou incapables de faire des choix.

    D'autres voient en eux des artistes doués d'une intuition et d'une créativité hors-pairs.

    A quoi reconnait-on l'hypersensibilité ?  

     

     

    Êtes-vous hypersensible ?
     

     

    Vous évitez les conflits ? Un bruit, une odeur ou une sensation trop forte vous empêchent

    de vous concentrer ? Vous ressentez le besoin de vous isoler face aux situations stressantes ?

    Vous êtes peut-être hypersensible.

    Si c’est le cas réjouissez-vous : l’heure est venue d’accepter votre différence.

     

    Selon la psychologue américaine Elaine Aron, une personne sur cinq est hypersensible

    « trop pour être un trouble mais pas assez pour être bien compris

     par la majorité des personnes ».

     

    Depuis la publication de son best-seller en 1996, de nombreux auteurs tentent de

    décrire avec justesse ce trait de caractère. Le psychanalyste et écrivain Saverio Tomasella

    est l’un d’entre eux. Dans Hypersensibles. Trop sensibles pour être heureux ? (éd. Eyrolles),

    il dresse des portraits tout en nuances de ces personnes qui ressentent la vie plus fort.

     

    On y apprend d’abord qu’être hypersensible, c’est se sentir en décalage avec les autres.

    Jusqu’à se croire anormal ou avoir peur de basculer dans la folie.

    Avec méthode, l’auteur s’attache à déconstruire les préjugés et à sortir l’hypersensibilité

    de la case « symptôme » ou « maladie ».

    La sensibilité est le propre de l’âme humaine.

    Si elle est vue comme excessive, ce n’est qu’à travers les yeux de la personne qui regarde.

     

    D’ailleurs « les personnes d’une très grande sensibilité ne se ressemblent pas forcément"

     prévient Saverio Tomasella. « Certaines sont très impressionnables, d’autres très

    expressives. Certaines sont particulièrement réservées ou timides, d’autres expansives

    et exubérantes ».

    Alors, qui sont au juste les hypersensibles ?

     

    Des émotions « à vif »

     

    Comme dans la célèbre chanson de Johnny Cash, les hypersensibles marchent sur le fil.

    Les sensations qu’ils perçoivent les touchent de plein fouet et perturbent leur équilibre.

    Leur entourage les trouve « à vif », « à cran » mais aussi « à fleur de peau »

    et peine à suivre leurs changements imprévisibles de comportement.

     

    Les émotions des hypersensibles sont parfois hors-de-contrôle.

    La beauté les émerveille, c’est pourquoi ils la recherchent au quotidien.

    Un paysage, une mélodie ou un film et les larmes leur montent aux yeux...

     

    Inquiets et angoissés

     

    Mais ils peuvent aussi fuir ce trop-plein émotionnel difficile à gérer.

    En accumulant les excès (drogue, alcool, sexe) ou en « anesthésiant » inconsciemment

    leur émotivité. Dans son titre « A fleur de peau », Matthieu Chédid chante par exemple

    « J'étais desséché / Je n'avais pas pleuré / Depuis longtemps / Je suis /

    Ton pot de fleur / Je suis / À fleur de peau ».

    Cette fausse insensibilité peut conduire à une certaine dureté, ou une

    froideur face aux évènements.

     

    Car en ressentant les émotions « puissance mille », les hypersensibles n’échappent

    pas aux émotions douloureuses, telle que l’angoisse.

    Saverio Tomasella relate le témoignage d’une de ses patientes qui dit ressentir les pires

    angoisses quand elle attend une nouvelle ou un coup de téléphone qui ne vient pas

    « je crois que je vais devenir dingue ! ».

    Pour un autre patient, l’angoisse survient dans des moments de grande solitude

    sous la forme d’une « douleur brûlante et lancinante qui tenaille ou

    déchire l’intérieur de l’être. »

     

    Sensibles au regard des autres

     

    Les hypersensibles ont un rapport à l’autre particulier.

    Saverio Tomasella explique « une forte sensibilité peut fréquemment se manifester par

    de la réserve, de la timidité, ou par certaines formes de susceptibilité ou d’instabilité ».

    L’émotion est tellement intense qu’elle est difficile à exprimer.

    Cette sensibilité les pousse parfois à vouloir rentrer dans leur carapace, se couper

    du monde et de la foule.

    Ils se ressourcent dans le silence, le calme et la lenteur.

     

    Les hypersensibles se fondent-ils pour autant dans le décor ?

    Pas pour le psychanalyste « Les personnes timides, bien que réservées, peuvent paraître

    fantasques à leur entourage du fait de goûts, d’habitudes ou de marottes qui

    surprennent les autres. Ainsi, une très grande sensibilité va souvent de pair avec une

    forte originalité. » Pour autant, ils assument souvent mal leur différence et souffrent

    d’une mauvaise estime d’eux-mêmes.

     

    Empathiques à l’extrême

     

    Bien qu’ils apprécient la solitude, les hypersensibles sont généralement des soutiens précieux

    pour leurs proches. Empathiques et attentifs, ils partagent les joies, comme les souffrances.

    Leurs amis les décrivent comme des personnes sociables, joyeuses et enthousiastes.

     

    Mais à vouloir tout le temps faire plaisir aux autres, les personnes très sensibles

    peuvent petit à petit s’oublier.

    D’autant plus qu’elles n’imaginent pas vivre sans l’autre.

    Elles ont un grand besoin d’affection et plus que tout peur de l’abandon ou de la trahison.

    Dans « Ne me quitte pas », Jacques Brel chante par exemple « Je ne vais plus pleurer /

    Je ne vais plus parler / Je me cacherai là / A te regarder / Danser et sourire /

    Et à t'écouter / Chanter et puis rire / Laisse-moi devenir / L'ombre de ton ombre

    / L'ombre de ta main / L'ombre de ton chien ».

     

    Apprivoiser sa sensibilité

     

    L’hypersensibilité : une chance ou un calvaire ?

    Pour Elaine Aron, « la sensibilité est tout sauf un défaut.

    Beaucoup de HSP sont souvent des travailleurs particulièrement créatifs et productifs,

    des partenaires attentifs et réfléchis, et les individus doués intellectuellement. »

     

    C’est une chose de reconnaître sa sensibilité, mais une autre d’arriver à l’apprivoiser.

    En mai 2012, Marion Cotillard déclarait lors d’une interview « J’ai toujours eu une grande

    sensibilité […] Heureusement, cette hypersensibilité aggravée est compensée par une nouvelle

    aptitude à rire de moi-même et de mes réactions émotives, qui peuvent être démesurées ».

    Savoir prendre du recul avec soi-même serait donc une première clé.

     

    Alors, trop sensibles pour être heureux ?

    Saverio Tomasella conclue « À partir du moment où nous ne cherchons plus à tout contrôler

    mentalement ou inversement à nous laisser envahir par les débordements émotionnels,

    nous pouvons être et vivre dans le réel.

    Il est alors possible d’oser dire qui nous sommes : ce que nous sentons, imaginons et pensons.

    Aussi n’est-ce pas un hasard de constater que plus notre sensibilité est développée,

    plus nous sommes vivants ».

     

    Et vous, comment vivez-vous votre sensibilité ?

     

     

    HYPERSENSIBLES ET FIERS DE L'ÊTRE !

     

     

     

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    I HAVE A DREAM

     

     

    « Bien que nous ayons à faire face à des difficultés aujourd’hui et demain,

    je fais toujours ce rêve » : c’est un rêve qui relève du bon sens.

     

    « Je rêve qu’un jour, notre pays se lève et vit pleinement la véritable réalité de son credo :

    Nous tenons ces vérités pour évidentes par elles-mêmes que tous les hommes sont

    créés libres, égaux, fraternels ».

     

    Je rêve qu’un jour, soit abordé au sein des Intelligentsia médicales l’autonomie,

    qu’elles proclament haut et fort que notre santé dépend avant tout de la façon dont

    nous mangeons, bougeons, dormons et pensons et que des actions soient mises en place

    pour sensibiliser les plus jeunes et les plus suspicieux, que ferment les linéaires

    de brioches Pasquier et de sodas caramélisés, que baissent les prix des légumes

    et augmentent ceux des produits transformés.  


    Je rêve qu’un jour, se vident les supermarchés, que chacun s’affranchisse de cette

    alimentation d’élevage et conçoit à allouer un budget à son panier plutôt qu’à un nouveau gilet.

     


    « Je fais aujourd’hui un rêve » !

     

    Je rêve qu’un jour, chacun comprenne qu’il est responsable de sa personne et du corps

    dont il dispose comme de n’importe quel autre bien qu’il possède, qu’il lui appartient

    d’entretenir son système immunitaire au quotidien et qu’il n’est jamais trop tard.


    Je rêve que nos petits-enfants vivent un jour dans une oasis de liberté et de

    responsabilité, entrainés par leurs ainés à prendre soin de leur santé.

     

    Je rêve qu’un jour, vaccinés et non vaccinés s’assoient à la table de la fraternité,

    que les plus fragiles se réjouissent de se sentir protégés et que ceux qui le sont

    moins se responsabilisent. Que chacun puisse prendre la mesure de son comportement

    et de son devoir de protéger son prochain, que s’atténue la peur et grandisse

    l’envie de s’informer.

     

    « Je fais aujourd’hui un rêve » !

     

    Je rêve qu’un jour, l’agonie de l’Hôpital public et de son personnel soit entendue

    et traitée comme une priorité, que ce manque de moyen ne soit plus étouffé par

    une stratégie sanitaire, électorale ou économique,

     

    « Je fais aujourd’hui un rêve » !

     

    « Je rêve qu’un jour toute la vallée sera relevée, toute colline et toute montagne seront

    rabaissées, les endroits escarpés seront aplanis et les chemins tortueux redressés.


    Telle est mon espérance ».

     

    C’est la foi avec laquelle j’entame cette nouvelle année.


    « Avec cette foi, nous serons capables de distinguer dans la montagne du désespoir,

    une pierre d’espérance.


    Avec cette foi, nous serons capables de transformer les discordes criardes de notre

    nation en une superbe symphonie de fraternité.


    Avec cette foi, nous serons capables de travailler ensemble, de prier ensemble, de lutter

    ensemble, de défendre la cause de la liberté ensemble, en sachant qu’un jour,

    nous serons à nouveau libres ».

     

    Que cette année que je vous souhaite merveilleuse, soit celle de l’engagement.

     

    Laura Azénard

     

     

     

     

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    En 2016, lors de sa première campagne présidentielle, le Président français,

    Emmanuel Macron avait expliqué qu’il était pour une société écologique

    mais pas pour une société Amish.

     

    Il affirmait cela alors que ses opposants politiques à gauche lui reprochaient son

    soutien au diesel.

     

    Il a repris cette image quatre ans plus tard, à propos de la 5G.

     

    En septembre 2020, devant un parterre de patrons du numérique ravis,

    il a alors affirmé :

     

    «Oui, la France va prendre le tournant de la 5G parce que c'est le tournant
     
    de l'innovation.  J'entends beaucoup de voix qui s'élèvent pour nous expliquer
     
    qu'il faudrait relever la complexité des problèmes contemporains en revenant
     
    à la lampe à huile ! » 
     
     

    Lors de ce discours, le Président Macron a, par ailleurs, écarté l’idée de mettre

    en place un moratoire sur la 5G, comme le demandaient certaines associations

    environnementales.

     

    Les écologistes ont réagi avec humour à cette affirmation.

    Ils se sont fait appeler “les Amish de la Terre” avant d’aller manifester avec des

    bougies devant le palais de l’Élysée.

     

    Pour autant, au-delà de la “petite pique” relevée par les journalistes ou du mépris

    affiché par le Président de la République, il faut voir dans cette opposition

    constante entre société Amish et société du progrès, un véritable programme

    politique.

     

    Il s’agit d’un révélateur de la pensée d’une partie des élites mondialisées

    de notre époque.

     

    Ne vous y trompez pas, cette politique est en train d’être déployée en Occident.

     

     

    De l’humanisme au transhumanisme

     

     

    Le Président de la République se décrit comme un progressiste.

    C’est une conviction profonde. Il y a eu les progrès techniques du XXe siècle

    dont le diesel.

    Il y a maintenant la 5G, l’intelligence artificielle et les vaccins.

    Il y aura les villes connectées, la reconnaissance faciale et le contrôle social pour le

    bonheur de tous. Il y aura ensuite, la fin de la mort et la conquête spatiale.

     

    C’est exactement le projet transhumaniste.

     

    Cette vision de l’homme a été décrite par Ray Kurtzveil, ingénieur en chef

    chez Google dans le livre Humanité 2.0 ou encore par Yuval Noah

    dans Sapiens. 

     

    Ce dernier livre a été un best seller mondial.

     

    Ces idées séduisent le monde.

    Elles fédèrent de nombreux adeptes à commencer, en France,

    par le Dr Laurent Alexandre pour qui la société se divise entre les inutiles,

    comme les gilets jaunes et les “dieux” qui acceptent d’être “augmentés”.

     

    Ce mouvement tire ses racines de l’humanisme profane.

    À la Renaissance et aux temps des Lumières les penseurs ont voulu changer

    l’homme grâce à l’éducation, la culture et le droit.

    Ils croyaient en l’apparition d’un homme nouveau.

     

    Aujourd’hui, l’idée est la même.

     

    Toutefois, c’est par la technique, notamment grâce à l’intelligence artificielle,

    que les transhumanistes espèrent améliorer l’espèce humaine.

     

    Pour Ray Kurzweil, les machines deviennent de plus en plus intelligentes au point de

    pouvoir penser tandis que les hommes s’augmentent grâce aux machines.

     

    Il imagine une société où les deux “espèces” pourraient cohabiter avec des cyborgs,

    des chimères et d’autres hybrides dignes de frankensteins.

     

    Un cyborg est un organisme cybernétique, c’est un être humain sur lequel ont été

    greffé d’autres éléments : un membre en métal, de l’électronique, et pourquoi pas

    des ports USB…

    Ce sont les androïdes des bandes dessinées que les scientifiques d’aujourd’hui

    ne sont pas loin de pouvoir créer. 

    Une chimère est un organisme vivant issu d’une hybridation entre différents

    génotypes.

     

     

    Avec ses manipulations génétiques, électroniques et informatiques,

    les transhumanistes espèrent obtenir le rallongement de la vie,

    l’élimination des maladies et à terme de la mort, l’élimination de la souffrance

    et l’augmentation des capacités intellectuelles, physiques, sensorielles

    et émotionnelles des hommes.

     

     

    Pour eux, les questions du moment sont : Jusqu'où peut-on repousser les limites

    du corps humain ?

    L’homme va t’il disparaître s’il ne s’augmente pas ?

     

    L’être humain peut-il faire l’amour à un robot ?

     

     

    La chirurgie génétique change la donne

     

     

    La révolution numérique opérée depuis les années 2000 est avant tout une

    histoire de données et de prédictions.

    On a réuni dans de grands centres informatiques des masses d’information

    sur le passé des hommes afin de prédire leur futur.

     

    C’est pour l’essentiel un grand jeu de probabilités.

     

    Dans le même temps, les connaissances en matière de génétique se sont

    considérablement accrues avec le séquençage complet du génome humain

    qui a été achevé en avril 2003 par deux équipes de scientifiques

    concurrentes. 

     

    Cela fait presque 20 ans. 

     

     

    Et en l’état actuel des connaissances scientifiques, il est possible

    d’intervenir sur ce génome.

     

    C’est ce que fait naturellement l’évolution au fil des générations.

     

    Mais il est désormais possible d’avoir recours à de la chirurgie génétique.

     

    On change alors l’information contenue dans le génome.

    Cela peut se faire grâce à différentes technologies.

    La plus connue ou citée est le CRISPR cas 9.

     

     Elle permet de travailler sur votre génome comme l’on travaillerait sur un

    document Word.

     

    Il suffit de changer les lettres du code génétique (G,A,T,C) pour modifier

    votre génome.

     

    Deux types de modifications peuvent être apportées. Elles sont :

     

    • correctives s’il s’agit de modifier une anomalie ou une erreur de codage.

     

    • mélioratives s’il s’agit d’augmenter une performance par exemple enzymatique.

     

    La première relève du soin.

    Elle sera utile en cas de problème génétique ou même de cancer.

    Par exemple, il sera possible d’ici quelques années de corriger la moelle

    osseuse d’un patient atteint d’un myélome.

    Cela évitera les difficultés liées aux greffes.

     

    La deuxième relève de l’amélioration des capacités de l’organisme vivant.

    C’est quelque chose qui se pratique déjà en laboratoire sur des animaux mais aussi

    sur des cellules humaines.

     

     

    Allez-vous devenir post-humain ?

     

     

    Ce type de chirurgie génétique intéresse directement les transhumanistes.

    Ils espèrent ainsi créer une nouvelle “espèce” d’homme, celle qui viendrait

    après Homo sapiens.

     

    Le livre de Harari sonne comme le testament d’une vieille famille.

    Place désormais à l’homme augmenté dont la génétique aura été optimisée.

     

     

    Pour les transhumanistes, la chirurgie génétique, associée à la médecine

    prédictive, devrait permettre de retarder la mort, voire de la vaincre.

     

    Ainsi, dans les années qui viennent, les patients devraient prendre des

    traitements destinés à éviter des maladies probables.

     

    Avec la chirurgie génétique, une opération bénéficierait aux

    patients et à leurs enfants.

     

    De la même manière, une erreur lors de l’intervention aurait des effets

    sur les descendants.

     

    Cette logique existe déjà dans la société.

     

    C’est une actrice célèbre qui se fait enlever les seins parce qu’elle a un gène

    susceptible de déclencher un cancer du sein.

     

    La vaccination participe également de cette logique : c’est un traitement que l’on

    prend, alors que l’on est en bonne santé, pour éviter un mal possible.

     

    En clair, le public est déjà prêt pour ce changement.

     

     

    Le coronavirus a t’il accéléré le mouvement ?

     

     

    Le SARS CoV 2 venu de Chine semble avoir permis de confirmer la tendance

    de fond qui touche nos sociétés contemporaines.

     

    En effet, des populations entières ont vu leurs libertés fondamentales

    sensiblement réduites au nom de la prévention.

     

     

    Ce sont des modélisations effectuées à partir de données, notamment

    chinoises, qui ont convaincu les gouvernements de confiner leurs

    populations et de créer des cadres juridiques spécifiques.

     

    En France, dès le mois de novembre 2020 est créé un “état d’urgence

    sanitaire”, qui permet à l'exécutif de se passer plus ou moins du Parlement.

     

    De très nombreuses personnes en bonne santé ont par ailleurs, bon gré, mal gré,

    accepté de tester à grande échelle des thérapies géniques expérimentales

    au nom du risque lié à une maladie.

     

    L’idée de vacciner les femmes enceintes a été acceptée alors qu’il s’agissait

    auparavant d’une ligne rouge.

    L’OMS a profité de l’épidémie de SARS CoV 2 pour supprimer, de ses

    communications, la notion d’immunité naturelle.

     

     

    Désormais, la seule immunité possible est vaccinale et seule la technique

    protège l’homme contre les méfaits de la nature.

     

    Demain, c’est elle qui l’augmentera pour lui permettre d’éviter toutes

    les maladies.

     

    La Covid 19 ressemble à un galop d’essai.

     

     

    La réalité derrière les promesses

     

     

    Malgré l’enthousiasme des transhumanistes, il existe un décalage

    entre leurs promesses et le réel.

    Ainsi, lors de l’épidémie de coronavirus, les modélisations avaient prévu des

    centaines de milliers de morts en quelques mois au Royaume-Uni et en France.

     

    Non seulement ces prédictions hasardeuses ne sont jamais produites mais il

    apparaît de manière certaine que l’épidémie aura été beaucoup moins grave

    que ce qui a été annoncé.

     

    Une étude récente reprise à la télévision par l’épidémiologiste Martin Blachier,

    précise qu’en 2020, l’année noire du coronavirus, seules 2% des hospitalisations

    ont été causées par le virus.

     

     

    Par ailleurs, la facture environnementale de tous ces oracles modernes

    à base de données est absolument colossale.

     

    Le poids du numérique dans la pollution globale ne cesse d’augmenter.

    La pollution numérique serait désormais supérieure à celle causée

    par le trafic aérien !

     

    En clair, le coût écologique du modèle transhumaniste est largement sous-évalué

    alors même que son efficacité à prédire l’avenir semble surestimé.

    Cela n’a pas empêché nos gouvernements d’accélérer la marche forcée vers

    une société du “QR code” et de la vaccination obligatoire et récurrente.

     

     

    Or, à ce jour, personne ne sait exactement quelles seront les conséquences

    à long terme sur la santé humaine de ces thérapies géniques expérimentales.

     

     

    Nos scientifiques, gouvernants et journalistes avancent à grande vitesse vers

    un modèle séduisant en apparence mais terriblement incertain,

    et semblent avoir oublié toute forme de prudence dans leur démarche.

     

    Ils nous engagent à leur suite sans se préoccuper des risques liés à ce modèle.

     

     

    Amish et 5G ?

     

     

    Comment résoudre l’équation entre ceux qui prônent le modèle

    transhumaniste, comme le Président Macron et ceux qui le redoutent ?

     

    Les États-Unis ont montré une voie possible.

    Elle est institutionnelle et juridique.

     

    Si le Président français peut se moquer d’une population de Suisses allemands

    implantée en Amérique et vivant comme au XIXe siècle, c’est que ces derniers

    ont obtenu le droit de vivre selon leurs traditions.

     

    La République américaine ne se sent pas menacée par l’existence d’un groupe

    humain non vacciné, non connecté et non motorisé.

     

    Une autre voie possible, en tout cas dans le domaine de la médecine, est de

    favoriser une approche “low tech” à l’hôpital.

     

    C’est le modèle que défend le Dr Louis Fouché, réanimateur à l’IHU de Marseille.

     

    Il estime que les progrès des 15 dernières années en réanimation sont liés

    à une meilleure coordination entre les services et une meilleure prise

    en charge des patients.

     

     

    Pour lui, le progrès doit se situer au niveau humain dans la communication

    et la coopération entre les uns et les autres.

     

    Or le progrès technique peut produire l’effet inverse.

     

    Par exemple, certains médecins ne touchent plus les patients, ne se parlent pas

    entre eux, et se contentent d'exécuter des ordres formulés par des ordinateurs

    à partir de base de données.

     

    L’avenir proche de l’humanité pourrait dépendre de sa capacité à aborder

    ces sujets d’une manière libre, discutée et éthique.

     

     

    Affaire à suivre…

     

     

    Jérôme


    Responsable communication


    Fondation Hippocrate

     

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    EVACUER LE STRESS AVEC LA METHODE 5-4-3-2-1

     

     

    Vous êtes une personne angoissée, qui se laisse rapidement dépasser par le stress ?

     

    Pas toujours évident de se remettre de ses petits accès de panique et de retrouver

    un peu de sérénité rapidement.

     

    Vous avez peut-être plusieurs méthodes pour vous remettre, ou au fil du temps vous

    avez mis au point des stratégies pour faire le vide en vous.

     

    Mais avez-vous déjà tenté la méthode du 5-4-3-2-1 ?

     

     

     

    Présentation de la méthode 5-4-3-2-1

     

     

     

    Partagée par la psychologue américaine originaire de Boston Ellen Hendriksen, elle a fait

    ses preuves auprès des plus angoissés.

    Cette méthode, qui met en éveil les 5 sens, a pour unique but de focaliser son attention

    sur des choses concrètes qui nous entourent, c’est un véritable exercice de pleine conscience.

    Pour ce faire il faut d’abord mettre en éveil la vue, en identifiant 5 choses autour de nous qui

    font partie de notre environnement : un tapis, un livre, un poteau électrique…

    ça peut vraiment être n’importe quoi à portée des yeux.

    Ensuite, on passe à 4 choses que l’on peut entendre : un oiseau qui chante dehors, la machine

    à laver qui tourne, une voiture qui passe…

    C’est ensuite l’odorat que l’on exerce, avec 3 choses à sentir : votre propre parfum, une plante,

    un plat qui mijote…

    Vient ensuite le toucher, en identifiant 2 textures.

    Cela peut être la matière de votre chaussure, le plaid du canapé…

    Et enfin, on goûte une chose. Ça peut être très simple si vous êtes chez vous, mais si vous avez

    une crise à l’extérieur, pensez par exemple à passer votre langue contre vos dents,

    le tout est de la faire travailler.

     

     

    S’ancrer dans le présent 

     

     

    Les crises d’angoisse proviennent parfois de situations oppressantes, d’inquiétudes qui

    rongent, d’état d’insécurité.

    Faire appel à ses sens permet dans un premier temps de détourner ses pensées de la cause

    de l’anxiété progressivement. Ensuite, faire cde « petit jeu » permet de prendre conscience de

    ce qu’il se passe autour de nous, de s’ancrer dans le présent et de s’ouvrir au monde.

    Ainsi, on tente pendant quelques minutes de faire fi de ce qui nous ronge et on tente de profiter.

    Pour ce faire, il ne faut pas hésiter à s’isoler en cas de crise alors que l’on est entouré d’autres

    personnes, malgré leur bienveillance elles peuvent au contraire biaiser le processus…

     

     

                                  En espérant que ça vous aide !                   

     

     

    EVACUER LE STRESS AVEC LA METHODE 5-4-3-2-1

     

     

                      

     

     

     

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