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Par Danishacreations le 26 Juin 2020 à 21:04
Je m'étonne chaque jour un peu plus qu'en plein cœur de cette crise sanitaire,
les médias officiels ne donnent pas plus d'explications sur le fonctionnement de
notre système immunitaire.
Sans cesse, on nous exhorte à chercher à l’EXTÉRIEUR la protection qui nous sauverait :achetez des masques, achetez des gels hydro alcooliques (sans préciser que ces gels ne
devraient pas être utilisés durant plusieurs jours d'affilée car, à base d’éthanol, ils vont
supprimer la première barrière immunitaire naturelle de notre corps :
les bactéries et le film lipidique de notre peau qui fait barrière aux virus...
(C'est d'ailleurs à cause de l'usage excessif de produits antibactériens ces dernières années,
et d'une incompréhension du rôle des bactéries dans notre immunité, que nos organismes
deviennent d'années en années plus sensibles aux agressions extérieures).
Plus on utilise ces gels hydro alcooliques, plus on rend perméable et sensible notre épiderme
aux virus... Privilégier des savons classiques !
Puis, on commence à nous parler d'une solution qui elle aussi viendrait de l'extérieur :un futur traitement médicamenteux ou un vaccin dont les évaluations d'autorisation de
mise sur le marché seront sûrement bâclées pour cause " d'urgence "...
Mais à quel moment a-t-on expliqué à la population que tout le monde possède la capacitéde renforcer son système immunitaire de manière naturelle en quelques jours (jeûne),
ou en quelques semaines ? Ce qui permettrait, certes non pas d'éviter la propagation du
virus, mais de renforcer nos défenses face à celui-ci et donc de diminuer la proportion de
cas graves, de guérir beaucoup plus vite chez soi.
Pourquoi ne pas faire intervenir sur les plateaux des chaînes d'information, qui consacrent95% de leur temps à ce sujet depuis plusieurs semaines, des professionnels de la santé
qui parlent de prévention, comme des nutritionnistes, des naturopathes, des phytothérapeutes,
qui pourraient réaliser un immense travail d'information et de prévention auprès du public
et ainsi soulager les médecins qui eux, sont sur le front ?
Pourquoi ne pas dire aux gens que manger de la mer**, des produits industriels, transformés,raffinés, est la première chose qui détruit nos défenses immunitaires ?
Que l'efficacité de notre système immunitaire dépend étroitement de la qualité denotre flore intestinale (et donc la qualité de ce que l'on mange) ?
Que donc les légumes et fruits vivants, crus, locaux, de saison, sont ce qu'il y a de mieux pourrenforcer rapidement nos réserves minérales, nécessaires à l'immunité ?
Pourquoi ne pas expliquer que le jeûne hydrique renforce le système immunitaire en3 jours seulement ?
Pourquoi ne pas parler des bienfaits de la douche froide (oui oui, juste la douche froide)qui en quelques jours augmente le taux de certains lymphocytes T ?
Pourquoi ne pas expliquer que des plantes comme l'échinacée, l'astragale, le sureau,le cynorrhodon, sous leurs formes concentrées, augmentent les défenses immunitaires
en quelques semaines ? (On aurait donc eu le temps depuis l'apparition du virus...)
Pourquoi ne pas parler de l'efficacité des huiles essentielles antivirales ?
Ah oui, l'argent ne va pas forcément au bon endroit, ou ces solutions sont quasiment gratuites…
Pourquoi ne pas parler de l'importance de l'activité physique, et des études récentes quiprouvent l'efficacité rapide du yoga dans le renforcement du système immunitaire ?
Pourquoi ne pas expliquer que la peur est immunodépressive ?(C'est pourtant la seule émotion véhiculée en ce moment par les médias principaux...)
Pourquoi ne pas expliquer aux gens qu'ils ont, en eux, un potentiel de défense et de guérisoninfiniment plus puissant que tous les médicaments du monde, et qui peut être actionné
rapidement ?
En cette période où nous disposons enfin de temps, il serait nécessaire de s'intéresser enfinà notre propre fonctionnement, se réapproprier notre pouvoir personnel,
pour prendre en main notre santé, et notre avenir.
Merci à
Alix Merle des Isles, Naturopathe, praticienneen réflexologie et soins énergétiques
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Par Danishacreations le 26 Avril 2020 à 20:49
Tout le monde sait ce qu’est le miel.
Mais connaissons-nous vraiment cet aliment ?
Redécouvrez le miel et ainsi comprenez pourquoi manger du miel bio est vraiment
très important, si vous voulez profiter de ses nombreuses vertus.
Le miel est la première forme de sucre utilisée par l’humain.
Mais il est surtout la nourriture des abeilles avant d’être l’un de nos aliments.
Les abeilles le fabriquent après un long travail, qui fait l’interaction fondamentale
entre le monde animal et le monde végétal.
Le miel, notre premier sucre
Savez-vos comment les abeilles fabriquent le miel ?
La fabrication du miel
Tout d’abord, les abeilles vont butiner le nectar des fleurs.
Mais pas n’importe quelles fleurs.
Elles sélectionnent les espèces et déposent un message hormonal au cœur
de la fleur butinée pour ne pas y revenir.
En même temps, leur corps poilu se recouvre de pollen et permet ainsi la
pollinisation des fleurs choisies.
Une abeille butine environ 30 fleurs avant de rentrer à la ruche pour y déposer
le nectar qu’elle a accumulé dans son jabot.
Miel – Le saviez-vous ?
Il faut butiner 1 million de fleurs pour faire 1kg de miel !
Les abeilles parcourent l’équivalent d’un tour de la Terre pour butiner.
Production de miel en France
La production de miel chute en France : de quelque 35.000 tonnes par an dans les années
1990, elle est passée à moins de 15.000 tonnes en 2013, puis à 8.800 t. en 2018
soit moins d’un kilo toutes les 2 secondes (compteur) ou 24 tonnes de miel par jour.
L’effondrement de la population des abeilles continue à cause de l’emploi prolongé des
pesticides et de l’invasion croissante du frelon asiatique sur le territoire national.
La transformation du nectar en miel passe par deux facteurs
D’abord un séchage partiel : le nectar contenant environ 50 % d’eau, qui va le faire fermenter.
Il faut donc le sécher.
C’est en le brassant avec leurs mâchoires, en le ventilant avec leurs ailes,
et surtout en se le passant de bouche en bouche, ce qu’on nomme la trophallaxie,
qu’elles vont y parvenir.
Les réactions chimiques qui se produisent avec leurs sécrétions réduisent aussi la
quantité d’eau qui arrive finalement à 17 %.
A ce moment, les abeilles bouchent les alvéoles avec la cire.
Le miel peut se garder ainsi pendant des mois.
Le deuxième facteur est l’enrichissement.
Prédigéré dans la bouche des abeilles, le nectar modifie sa composition, en sucres notamment,
et acquiert toute sa richesse enzymatique et son pouvoir antiseptique.
C’est ensuite au cours de son séjour dans les alvéoles, grâce à l’air spécifique
de la ruche, à 35 °C, qu’il va mûrir et fabriquer sa flore spécifique.
Quelle différence entre le miel et le miellat ?
Les miels de sapin et de chêne devraient s’appeler miellats.
Ils ne sont pas conçus comme les autres miels, même s’ils sont aussi des miels.
En effet, les abeilles les fabriquent avec l’aide des pucerons.
Le miellat, c’est de la crotte de pucerons…
Les années sèches, les pucerons mangent la sève des arbres et déjectent une trainée
noire sucrée et riche en minéraux, appelée miellat.
C’est celui-ci qui intéresse les fourmis et les abeilles.
À partir de ce jus de pucerons, elles fabriquent un miel aux teintes noires et
aux forts pouvoirs minéralisant.
De quoi est composé le miel ?
Pour comprendre les qualités du miel, il faut comprendre de quoi il se compose :
- D’eau : il s’agit d’une eau dite « lourde », le deutérium, qui date des premiers temps de
l’univers, et qui est extraite de la profondeur de la terre par les racines des plantes butinées.
- De matières sèches : plus de 15 sucres différents, en proportion différentes selon les miels.
Ce qui confère au miel une action stimulante et équilibrée pour booster notre énergie.
- D’enzymes : l’une d’entre elles, la glucose-oxydase, facilite la cicatrisation des plaies.
Mais il ne faut pas que le miel soit chauffé.
- Des acides organiques : gluconique, acétique, citrique, etc.
Ils sont responsables d’un PH à 3,9. en moyenne.
- 19 acides aminés libres : les acides aminés participent au bon fonctionnement
de notre métabolisme général.
- Des protéines : le miel de bruyère callune est l’un des plus riches,
avec 2 % de protéines, soit l’équivalent du lait maternel !
- Des esters de cholestérol : ils participent à la biosynthèse des hormones.
Ils sont en quantité significative dans le miel de tournesol.
- Des minéraux : il y en a plus de 30. Du potassium (garrigue, châtaigner, forêt) ;
du phosphore – sapin, forêt) ;
du calcium (colza, bruyère, forêt) ;
du magnésium (forêt, sapin) ;
du fer (callune, sapin), etc.
Petites histoires de miel
Pour porter un nom de fleur, le miel doit contenir au moins 50 % du nectar provenant de cette espèce.
En Europe, ce sont près de 20.000 espèces végétales qui ne doivent leur reproduction qu’aux abeilles.
La densité moyenne du miel est d’environ 1,4 à 20°C.
Elle peut varier si les conditions de conservation sont mauvaises.
Mangez du miel certifié bio !
Malheureusement, on retrouve de plus en plus souvent des résidus de polluants
(antibiotiques, traces de métaux lourds, pesticides, fongicides) dans de nombreux miels.
Des études ont même révélé la présence de glyphosate, cette substance classée
potentiellement cancérigène que l’on trouve dans le fameux Round’up de Bayer-Monsanto,
dans différents miels échantillonnés.
La surprise réside dans le constat que les miels certifiés bio ne sont pas épargnés.
Il convient donc d’être très prudent et de boycotter les miels aux provenances douteuses,
notamment ceux fabriqués dans des pays favorisant à outrance la culture d’OGM et d’acheter
préférentiellement du miel biologique, produit localement.
(Source : Conso globe)
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Par Danishacreations le 9 Avril 2020 à 14:07
Les différentes variétés de poireau
On distingue les différentes variétés de poireaux par leurs périodes de récolte.
C’est un légume typiquement d’hiver, mais il y a également une variété
de printemps qui est très appréciée.
Le poireau d’automne et d’hiver
Le poireau d’automne est cultivé dans le Sud de la France, il est récolté dès le mois
d’octobre jusqu’aux premières gelées.
Le poireau d’hiver est récolté toute la saison, il a un gros calibre,
son feuillage est bien coloré.
Le poireau primeur
Ce poireau est récolté entre mai et début juillet.
Il est fin et petit.
Son feuillage peut être court ou long.
Lorsqu’il est court, sa couleur est vert bleuté, et lorsqu’il est long son feuillage est très clair.
Très jeune, il a une texture tendre et fondante, avec une saveur douce et légèrement sucrée.
Les vertus santé du poireau
Ingrédient incontournable des soupes de notre enfance, le poireau présente différents
bénéfices pour la santé, comme ses cousins l’oignon et l’ail.
Le poireau correspond à l’espèce Allium porrum.
Ce légume vert appartient à la même famille que l’ail, l’oignon, la ciboulette ou l’échalote :
les alliacées. Mais contrairement aux autres membres de cette famille il ne forme pas
de bulbe. Les parties comestibles de la plante sont plutôt la base blanche ;
en général les parties vertes ne sont pas utilisées en cuisine (ou alors en soupe).
Les poireaux se consomment à la vapeur, en soupe, sautés ou
remplacent les oignons dans vos plats.
Il existe peu de recherches scientifiques portant spécifiquement sur les poireaux ;
en revanche, certains de ses composés bénéfiques sont bien étudiés.
Les bénéfices du poireau sont proches de ceux de l’oignon et de l’ail.
Le poireau est particulièrement riche en fibres qui favorisent le transit,
mais aussi en potassium, favorable à la santé artérielle et osseuse.
Il contient aussi des composés soufrés anti cancer.
Les bénéfices des fibres prébiotiques
100 g de poireaux crus contiennent surtout de l’eau (83 g), mais aussi 1,5 g de protéines
et 2,68 g de fibres. En particulier, les poireaux sont une source de fibres prébiotiques,
qui favorisent de bonnes bactéries intestinales et contribuent à la santé du système digestif.
En 2017, une étude sur des rats a montré que la consommation de fibres alimentaires prébiotiques
favorise la qualité du sommeil ; les prébiotiques auraient un effet relaxant.
Une source de vitamines et de minéraux
100 g de poireaux contiennent 59 mg de calcium, 2,1 mg de fer, 28 mg de magnésium
et 180 mg de potassium. Ce contenu en calcium, magnésium et potassium favorise la santé
osseuse. Les vitamines présentes sont en particulier les vitamines A
(83 µg pour 100 g), C (12 mg), B6 (0,233 mg).
Des propriétés cardio protectrices et anti cancer
Les poireaux sont une source de polyphénols antioxydants, dont le kaempférol.
Ce flavonoïde, présent aussi dans d’autres légumes verts à feuilles, comme le chou
ou le brocoli, aurait différents bénéfices pour la santé :
il est associé à une réduction du risque de maladies cardiovasculaires et de cancers
notamment. D’après une revue de littérature sur le kaempférol, lui et certains de ses glycosides
possèdent des activités anti-inflammatoires, antimicrobiennes, anticancéreuses,
cardio protectrices, neuroprotectrices, antidiabétiques, anxiolytiques,
analgésiques et antiallergiques.
Des études épidémiologiques ont montré une relation inverse entre la consommation de
kaempférol et le cancer : le kaempférol agirait en augmentant les défenses antioxydantes
de l’organisme contre les radicaux libres, qui favorisent le développement du cancer.
Au niveau moléculaire, le kaempférol modulerait des éléments clés dans les voies de
transduction du signal cellulaire liées à l'apoptose, l'angiogenèse, l'inflammation
et la métastase. Le kaempférol inhibe la croissance des cellules cancéreuses
et l'angiogenèse et induit l'apoptose des cellules cancéreuses.
Antioxydant et antimicrobien
Les poireaux contiennent aussi de l’allicine, un composé organo-sulfuré présent également
en bonne quantité dans l’ail et l’oignon. L’allicine possède des propriétés antioxydantes et
antimicrobiennes (antibactériennes, antifongiques, antiparasitaires et antivirales).
Pour bénéficier au mieux des atouts santé des poireaux, il vaut mieux les blanchir rapidement
ou les faire cuire à la vapeur.
Ce sont les deux modes de cuisson qui préservent le mieux leurs composés antioxydants
d'après une étude belge.
Faire cuire le poireau à l'eau bouillante entraîne en revanche une fuite
des composés protecteurs.
Le poireau en pratique
Comment choisir, conserver et consommer le poireau ?
Comment le choisir ?
Il est préférable de choisir un poireau frais, lisse avec de belles couleurs et un
feuillage dressé.
Le poireau doit avoir :- Des racines fournies,
2- Un fût droit, ferme, le plus blanc possible et sans meurtrissure,
3- Des feuilles bien vertes, sans brisure ni meurtrissure.
Comment le conserver ?
Le poireau cru se conserve un peu moins d’une semaine dans le bac à légumes
du réfrigérateur. Veillez à couper le haut des feuilles avant de les conserver.
Après cuisson le poireau se conserve environ 2 jours dans une boîte hermétique.
Comment le cuisiner ?
Avant de le cuire, il faut le préparer.
Il faut trancher les racines et le haut des feuilles, puis ouvrir le poireau en quatreen retirant les feuilles abîmées. Fendre le poireau en deux pour pouvoir bien le laver
par la suite, vous pouvez le laisser tremper dans l’eau légèrement vinaigrée pour faciliter
le nettoyage. Vous pouvez déguster le poireau cru lorsqu’il est jeune et très tendre,
mais le plus souvent il se consomme cuit :
- 10 minutes à la vapeur (pour conserver le maximum de ses nutriments)
- 15 minutes à la casserole : les faire braiser avec un peu de beurre ou d’huile de coco
- 10 à 15 minutes au wok ou à la poêle : après les avoir finement émincés
faites-les revenir avec un peu d’huile
- 10 minutes à l’eau bouillante : vous pouvez aromatiser l’eau avec des
herbes aromatiques
Comment l’assortir ?
- En gratin : avec des brocolis ou du chou-fleur,
- Pour accompagner une viande, une volaille ou du poisson.
(Il accompagne à merveille les coquilles St Jacques en fondue.)
- En entrée avec une vinaigrette ou du fromage blanc
- En tarte salée, avec des lardons.
C’est un légume typiquement d’hiver, il se trouve présent dans beaucoup de soupes
pour son délicat arôme, mais il existe bien d’autres manières de l’accommoder :
Pour limiter le gaspillage, vous pouvez utiliser les feuilles vertes que vous avez
préalablement coupées pour réaliser un bouquet garni ou dans les soupes et potages.
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Par Danishacreations le 5 Avril 2020 à 15:02
Nous nous sommes endormis dans un monde et nous nous sommes réveillés dans un autre.
Soudain, Disney n'a plus de magie, Paris n'est plus romantique, New York ne reste
plus debout, le mur chinois n'est plus une forteresse, et la Mecque est vidée.
Les câlins et les bisous deviennent soudainement des armes et le fait de ne pas
rendre visite aux parents et aux amis devient un acte d'amour.
Soudain, vous avez réalisé que le pouvoir, la beauté, l'argent ne valaient rien
et ne pouvaient pas vous procurer l'oxygène pour lequel vous vous battiez.
Le Monde continue sa vie et il est magnifique ; il ne met en cage que les humains.
Je pense qu'il nous envoie un message :
"Vous n'êtes pas indispensables.L'air, la terre, l'eau et le ciel sans vous vont bien.
Et même mieux.
Quand vous reviendrez, rappelez-vous que vous êtes mes invités...
Pas mes maîtres."
Fanta Samoura
votre commentaire -
Par Danishacreations le 27 Mars 2020 à 16:37
Un petit machin microscopique appelé coronavirus bouleverse la planète.
Quelque chose d’invisible est venu pour faire sa loi.
Il remet tout en question et chamboule l’ordre établi.
Tout se remet en place, autrement, différemment.
Ce que les grandes puissances occidentales n’ont pu obtenir en Syrie, en Libye, au Yémen,
ce petit machin l’a obtenu (cessez-le-feu, trêve…).
Ce que l’armée algérienne n’a pu obtenir, ce petit machin l’a obtenu (le Hirak à pris fin).
Ce que les opposants politiques n’ont pu obtenir, ce petit machin l’a obtenu
(report des échéances électorales…).
Ce que les entreprises n’ont pu obtenir, ce petit machin l’a obtenu (remise d’impôts, exonérations,
crédits à taux zéro, fonds d’investissement, baisse des cours des matières premières stratégiques…).
Ce que les gilets jaunes et les syndicats n’ont pu obtenir, ce petit machin l’a obtenu
(baisse de prix à la pompe, protection sociale renforcée…).
Soudain, on observe dans le monde occidental le carburant a baissé, la pollution a baissé,
les gens ont commencé à avoir du temps, tellement de temps qu’ils ne savent même
pas quoi en faire. Les parents apprennent à connaître leurs enfants, les enfants apprennent
à rester en famille, le travail n’est plus une priorité, les voyages et les loisirs
ne sont plus la norme d’une vie réussie.
Soudain, en silence, nous nous retournons en nous-mêmes et comprenons
la valeur des mots solidarité et vulnérabilité.
Soudain, nous réalisons que nous sommes tous embarqués dans le même bateau,
riches et pauvres. Nous réalisons que nous avions dévalisé ensemble les étagères des
magasins et constatons ensemble que les hôpitaux sont pleins et que l’argent
n’a aucune importance. Que nous avons tous la même identité humaine face au coronavirus.
Nous réalisons que dans les garages, les voitures haut de gamme sont arrêtées
juste parce que personne ne peut sortir.
Quelques jours seulement ont suffi à l’univers pour établir l’égalité sociale
qui était impossible à imaginer.
La peur a envahi tout le monde.
Elle a changé de camp.
Elle a quitté les pauvres pour aller habiter les riches et les puissants.
Elle leur a rappelé leur humanité et leur a révélé leur humanisme.
Puisse cela servir à réaliser la vulnérabilité des êtres humains qui cherchent à aller habiter
sur la planète mars et qui se croient forts pour cloner des êtres humains pour espérer vivre
éternellement.
Puisse cela servir à réaliser la limite de l’intelligence humaine face à la force du ciel.
Il a suffi de quelques jours pour que la certitude devienne incertitude,
que la force devienne faiblesse, que le pouvoir devienne solidarité et concertation.
Il a suffi de quelques jours pour que l’Afrique devienne un continent sûr.
Que le songe devienne mensonge.
Il a suffi de quelques jours pour que l’humanité prenne conscience qu’elle n’est que
souffle et poussière.
Qui sommes-nous ? Que valons-nous ? Que pouvons-nous face à ce coronavirus ?
Rendons-nous à l’évidence en attendant la providence.
Interrogeons notre « humanité » dans cette « mondialité » à l’épreuve du coronavirus.
Restons chez nous et méditons sur cette pandémie.
Aimons-nous vivants !
Dr Hassan MAHAMAT IDRISS
Alias Moustapha DahlebANL
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Par Danishacreations le 24 Mars 2020 à 19:49
Donne tout.
Lâche-toi.
Bats-toi pour ce qui compte pour toi.
N’aie peur de rien.
Et si tu dois avoir peur.
N’aie peur que d’une chose…
…de passer à côté de TA vie.
On s’en fiche du résultat.
Crois en toi, tente tout.
La seule chose qui compte est que TU sois fier de toi.
Autorise-toi à être toi-même.
Autorise-toi à briller.
Car, quand tu brilles, tu éclaires les autres.
Sois le soleil qui permet aux étoiles de briller.
Autorise-toi à affirmer tes idées.
Autorise-toi à affirmer ton message.
Autorise-toi à être aimé
Autorise-toi à être détesté.
Autorise-toi à faire ce qui te chante.
Autorise-toi à dire ce en quoi tu crois.
Tout le monde ne sera pas d’accord avec toi.
C’est OK.
Tout le monde ne comprendra pas tes choix.
C’est OK.
Certains te jugeront.
C’est OK.
Certains t’insulteront.
C’est OK.
Toi, tu sais qui tu es.
Et c’est la seule chose qui compte.
Ne laisse personne te faire croire que tu ne peux pas.
Exprime ton message.
Exprime ton énergie.
Exprime ta rage, ta colère, ton amour.
Peu importe l’émotion qui te fait
déplacer les montagnes.
Sers-t'en pour rendre l’impossible possible,
un point c’est tout.
A la fin, la seule chose qui compte est
l’image que TU auras de toi-même.
Qui veux-tu être ?
Qui veux-tu devenir ?
Ne cherche pas à être parfait.
Cherche à être toi-même un peu plus chaque jour.
Cherche à te sentir aligné un peu plus chaque jour.
Ose, il n’y a jamais d’échec.
Le seul échec est de ne pas avoir osé se faire confiance.
Le seul échec est de ne pas avoir essayé.
Le seul échec est de ne pas suivre son cœur.
Brise tes chaînes.
Dépasse les obstacles.
Passe par-dessus, contourne-les ou fait les exploser.
Fait voler en éclat ce qui se dresse sur ton chemin.
Explose les croyances qui t’empêchent d’exprimer ton plein potentiel.
Suis tes envies.
Écoute ton cœur.
Écoute tes tripes.
Tu es déjà parfait.
Tu es déjà tout.
Tu es déjà prêt.
N’attends plus.
Fais ce que tu dois faire maintenant.
Ose, sois toi-même, et réalise-toi pleinement.
David VENNINK
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